Commentaire de Legestr glaz
sur La Seine pas saine : c'est la mare aux couacs !
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@Géronimo howakhan
Salut Géronimo
Il s’agit de maintenir les gens dans l’ignorance pour mieux les manipuler et leur faire prendre des vessies pour des lanternes. Et, malheureusement, la biologie et la biochimie se prêtent parfaitement bien à ce petit jeu puisque ce sont des sciences relativement complexes.
L’unité de base de l’organisme humain est la « cellule », mais, très majoritairement, les gens ne savent pas comment fonctionne la cellule, ni ce qu’elle contient et pourquoi. L’idée qu’un « virus » puisse prendre le contrôle de la cellule et faire en sorte de se multiplier grâce aux mécanismes cellulaires est une ineptie lorsque l’on sait que les cellules possèdent des armes redoutables pour combattre les agents pathogènes qui la pénétreraient. C’est ce qu’elle fait tout le temps. Par exemple, elle élimine, grâce au protéasome et au lysosome, toutes les protéines produites par la cellule qui auraient été mal synthétisées ou mal repliées. Et, en situation de danger, la cellule peut déclencher son apoptose, c’est à dire son élimination volontaire.
Dans ces conditions un « virus », qui fait partie du « non soi », serait immédiatement attaqué et ses constituants protéinés dégradés. Personne n’a jamais mis sur la table une seule preuve qu’un virus a pu exploiter le mécanisme de la cellule pour se répliquer. Ce genre d’étude n’existe pas.
C’est seulement après « culture », « in vitro » (dans l’éprouvette) que les « chercheurs » déclarent avoir constaté la « multiplication virale ». Ainsi les virus n« existent »qu’in silico« . Un comble !
Alors, évidemment, puisque les gens développent des maladies cardio-respiratoires, bien réelles elles, il faut trouver un »coupable« . Ainsi, ces »virus in silico« endossent cette responsabilité et tout le monde y croit. En revanche, les molécules gazeuses et particulaires de la pollution atmosphérique, qui induisent des maladies cardio-vasculaires, ne rentrent pas dans le champ des possibles pour le pékin moyen. Pour les chercheurs, il n’y a strictement aucun doute sur les effets délétères pour la santé de la pollution atmosphérique. Pour le grand public, c’est autre chose : il faut maintenir l’idée de la »théorie virale".
Une étude bien menée concernant la pollution et l’immunité humaine.
Air pollution and its effects on the immune system (année 2020)
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32007522/
... Le principal site d’exposition à la pollution atmosphérique est les voies respiratoires après inhalation. Les voies respiratoires, depuis les voies nasales jusqu’aux unités d’échange gazeux alvéolaires dans les poumons, représentent la principale interface entre le système immunitaire et l’environnement aérien. Les particules et les gaz inhalés interagissent avec les cellules épithéliales qui tapissent les voies respiratoires et les cellules immunitaires professionnelles présentes dans les voies respiratoires.
Ces cellules détectent et peuvent être « stimulées » par la pollution atmosphérique, car les constituants de la pollution déclenchent des voies de signalisation cellulaire. Les cellules stimulées agissent dans le cadre de réponses immunitaires multicellulaires et leur perturbation peut provoquer des maladies.
Dans cette revue, nous examinerons donc les effets de la pollution de l’air sur des types de cellules individuels, puis les effets sur les réponses immunitaires multicellulaires, mais nous examinerons d’abord les voies de signalisation intracellulaires que la pollution de l’air peut déclencher, entrainant la cascade de dysfonctionnements immunitaires qui conduisent aux pathologies induites par la pollution.