Commentaire de adrien
sur Le miracle de l'agneau néo-zélandais
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Du fait du déséquilibre entre producteur et distributeur, il faut réorganiser les fillières productrices pour pouvoir peser dans les négociations de prix.
Jamais les distributeurs ne s’imposeront un code moral par rapport à la maximisation de leur profit. Là où la loi du marché est reine, il faut justement la mettre de son côté sans utopisme.