mardi 18 janvier 2011 - par Viko

La vie après la mort, quand Clint s’en mêle...

Salut tout le monde !

Je cherchais une bonne critique du dernier Clint à publier sur mon fb , mais rien à faire...Tout ce que je trouvais présentait une grande réserve, comme une lâcheté déguisée, qui trahissait un vrai complexe et un malaise quant au traitement du sujet abordé par le réalisateur : la vie après la mort. 

En effet, difficile à traiter aujourd'hui au 21ème siècle, époque matérialiste et fermée aux questions spirituelles, c'est un thème que l'on associe habituellement à des films d'horreur ou à des idées farfelues de charlatans... Alors Clint, les yeux plissés, s'est dit : "Et bien moi j'vais en parler, de ce sujet" !

Et alors mes enfants que c'est bien fait ! Rien de transcendant dans ce film, et pourtant elle est quand même là, la transcendance, telle une lumière qui éclaire de l'interieur, elle est là dans chaque plan, simple, épuré, illuminé, dans chaque émotion, dans chaque souffle, d'amour ou de souffrance, de passion ou de réflexion, dans l'histoire, dans l'espoir !

Ce film est pour moi un film d'espoir, qui a l'air de nous rappeler que les questions les plus simples sont souvent les plus profondes... Et que toute la vie on se les pose, car nul n'en détient la réponse absolue.

C'est un film d'espoir, car dans ce siècle où l'on a tout et où pourtant on perd le sens des choses, il est essentiel de se remémorer que les grandes questions métaphysiques restent toujours ouvertes ; même (et surtout) pour notre science dominante, si sûre d'elle, qui reconnaît elle même ne pas avoir les clés du ' pourquoi' de tout ce qu'elle peut nous montrer du fond de son microscope...

Cette question de la vie après la mort n'a jamais été aussi tabou qu'à notre époque, où Athéisme semble tant vouloir rimer avec modernisme !

Alors Clint, courageusement, sans "boum", "paf", sans cris ou déversement d'hémoglobine, nous plonge dans le destin de personnages dont le point commun est une experience vécue de "l'après vie".

Conjuguant grâce, noblesse d'âme, passion et réflexion, le réalisateur développe son sujet avec beaucoup de classe, de retenue et d'intelligence. Mais surtout avec courage et modestie. Ce qui à mon sens, fait défaut aujourd'hui à beaucoup d'êtres humains !

Le courage de pouvoir se dire :" Je ne détiens pas la vérité mais je cherche, et j'espère qu'un jour, je trouverai...". Le grand gardien du mystère de la vie et de la mort, le Christ lui-même a dit : " Cherche la vérité, et la Vérité te rendra libre"

C'est un film liberé que ce "Hereafter",car Clint Eastwood, du haut de ses 80 ans et avec derrière lui une carrière des plus incroyables, semble vouloir nous dire :" N'arrêtez pas de chercher, car celui qui s'arrête de chercher, c'est celui qui est mort..."

 J'ai aimé ce film, car il est vraiment dans la lignée de ce que sait faire Clint Eastwood depuis qu'il est réalisateur : allier l'intelligence et le sentiment, le fond et la forme, l'action et la réflexion, tout en harmonisant ce que l'on a tant de mal à réconcilier dans nos vies : beauté et laideur, bien et mal, vie et mort.

Clint fait partie des grands de ce monde car, à l'image de ses films qui sont des messages de beauté et d'espoir, il est la preuve vivante que l'on peut faire la paix avec soi-même et apporter du beau et du vrai au monde si l'on travaille, si l'on cherche, si l'on agit et si l'on pense, avec le coeur...

 Bravo Clint, garde la pêche !

 Zut j'ai dit que des choses positives...Bah c'est pas grave, dire qu'il y a une longueur à un moment, ou que les acteurs français du film ont oublié de bien jouer, c'est pas très intéressant !

 Allez salut !

- Qui a dit : "C'est parce que t'es croyant que t'aimes le film" !?

- Non, moi je pense que ça n'a rien à voir...

 PS : A voir en "V.O " évidemment !!! A part pour ceux qui ne savent pas lire ou qu'ont oublié de s'acheter des lunettes...



25 réactions


  • Serpico Serpico 18 janvier 2011 19:15

    Il n’en finit pas d’être brillant, Clint Eastwood.


  • Ariane Walter Ariane Walter 19 janvier 2011 00:45

    Tu donnes envie d’aller le voir alors que la critique est très réservée.


  • ja.poirier 19 janvier 2011 10:07

    un bel avis pour un sujet tabou . smiley


  • Duke77 Duke77 19 janvier 2011 11:55

    Mine de rien le Clint, il explore un sujet d’actualité. Depuis quelques temps, certains médecins réalisent des études sérieuses sur le sujet. En 2011, des preuves scientifiques sont là : le cas de Pam Reynolds dans les années 90, qui vit une décorporation avec le tunnel de lumière et tout ce dont on a entendu parlé alors qu’elle subit une opération du cerveau et que son cerveau est inactif (vidé de son sang, EEC plat). En 2001, le Dr van Lommel, prouve que toute activité cérébrale cesse après 15 à 17 seconde suivant l’arrêt cardiaque... L’explication des matérialistes voulant expliquer la lumière blanche des gens frollant la mort par une ultime activité de détresse du cerveau en souffrance n’est plus valable dorénavant. En outre, il aurait été plus logique de faire un trip plutôt psychédélique genre LSD avec un cerveau en manque d’oxygène, mais pour ceux qui voulaient des preuves scientifiques irréfutables, c’est désormais chose faite. Que de chemin parcouru depuis le best seller de Raymond Moody dans les années 70 où étaient regroupés des témoignages concordant de NDE (near death experience) sans explication scientifique. Mais la concordance des témoignages était déjà troublante. Tout les témoins vivants la même expérience quelque soit son origine culturelle ou sa religion. Aujourd’hui, on sait que c’est vrai, il ne s’agit pas d’hallucinations : certains sont sortis de leur corps et ont ramené des information le prouvant. En ce moment même, le Dr Postel (cardiologue à Sarlat) monte une expérience pour prouver la décorporation de l’âme avec des affichettes visibles uniquement depuis le plafond suspendues au-dessus de patient susceptibles de vivre une NDE. D’autres comme le neurologue Suisse Olaf Blank, tentent de provoquer une décorporation par stimulation électrique de certaines zones du cerveau. Cette approche sceptique est également très intéressante car elle pourrait déboucher sur la localisation de « l’interrupteur » à stimuler pour provoquer une réelle décorporation (alors que le neurologue cherche à prouver qu’il s’agit d’hallucination). Souvent, l’approche scpetique donne les résultats les plus interressant et Olaf Blank semble être un homme de qualité qui acceptera sa découverte et la diffusera en acceptant de changer de position. Ca a été le cas pour un cardiologue qui lors d’une conférence sur le sujet s’est levé dans l’assistance pour s’exclamer que tout ceci était ridicule et qu’en 20 ans de cardiologie, il n’avait jamais entendu parler de cette expérience de mort provisiore avec décorporation. Alors qu’il terminait ces mots, une autre presonne dans l’assistance se lève et lui répond : « moi, je suis votre patient depuis 10 ans et j’ai vécu une décorporation, mais vous êtes la dernière personne à qui j’en parlerait »... Le cardiologue irrité à décider de mener une enquête pour prouver que les NDE sont un mythe. Le premier patient qu’il interroge le regarde avec des grands yeux, le deuxième également. Dès le 3e patient interrogé, ce-dernier lui confirme qu’il a vécu une telle expérience. Le Dr Michael Sabom mena son enquête pendant 5 ans et est devenu depuis un des meilleurs spécialistes dans ce domaine dont il se moquait 15 ans plus tôt.

    La conscience n’est pas localisée dans nos neurones ! Certains parlent d’une autre dimension, d’un changement de phase. La science actuelle nous permet de conclue sur la réalité du phénomène mais non d’en trouver les mécanismes fondamentaux. Quoiqu’il en soit les première preuves sont là : les résultats d’expériences scientifiques nous permettent de constater le phénomène de délocalisation de la conscience et d’écarter la thèse des hallucinations. Mr Eastwood vise juste comme d’habitude.

    http://www.dailymotion.com/video/x9t7dg_jean-jacques-charbonier_tech


    • Duke77 Duke77 19 janvier 2011 18:59

      Parkway, vous venez peut-être de mettre le doigt sur quelquechose d’important au sujet des OBE (out of body experience comme disent les anglois). Pour les français, il semble bien que leur cerveau soit toujours irrigué et produise une activité électrique entre les neurones, mais pour autant, leur conscience a disparu. Est-ce que les médias français arriveraient à provoquer une sortie de la conscience en dehors du corps, sans coma ni stimulation electrique au niveau du cerveau ?... intéressant.


    • ferrassie 20 janvier 2011 11:26
      Duke77,

      Je réagis au commentaire que vous avez fait à mon message de doute.

      Vous parlez de « preuves scientifiques » à propos d’une conscience délocalisée lorsque le cerveau est vidé de son sang.

      Le témoignage d’un seul médecin anesthésiste, à mon avis, ne suffit pas pour établir une certitude scientifique. Quels instruments de mesure ont été utilisés pour contrôler cette conscience délocalisée ? Quelle quantité d’énergie émet la conscience (ou consomme-t-elle) pendant cette période ?

      Où sont ces preuves ? Quand ont-elles été publiées dans des revues scientifiques à comité de lecture (comme « Science » ou « Nature ») ? 

      Comment la conscience pourrait-elle continuer d’exister sans la circulation sanguine qui est l’« énergie » de cet organe ? Lors des interventions chirurgicales en cardiologie, une circulation sanguine extérieure est mise en place pour maintenir l’irrigation du cerveau, cela sous peine de d’arrêt définitif de tout le système.

      Ce dont vous parlez est appelé « âme » par les croyants – âme dont l’existence est aussi prouvée que celle de dieu, des djinns, des lutins ou de la licorne verte à pois bleus, et dont la « survie » après la mort tient de l’œuvre du saint-esprit.

      Personnellement j’ai subi une intervention cardiaque il y a plus de dix ans et je vous assure que j’ai dormi comme un bébé, sans aucun rêve pendant les 24 ou 25 heures qu’ont duré l’intervention et le réveil.


  • Furax Furax 19 janvier 2011 12:22

    Pour tous ceux que ça intéresse et qui appréhendent le langage un peu « allumé » ou new-âge,lisez la « Source noire »de Patrice Van Eersel (en Livre de Poche).
    Il était à l’époque journaliste à Actuel parti enquêter aux EU. On aurait découvert la drogue produite par le mourant pour créer des visions consolatrices. Il constatera que c’était du pipeau, mais en même temps, il mettra le doigt sur une découverte étonnante pour l’époque, avec beaucoup de témoignages bouleversants. Le tout sur le ton léger et plein d’humour de « Actuel » grande époque.
    Le silence étourdissant qui entoure cette question s’explique facilement.
    Elle irrite bien sûr les rationalistes en béton, les politiques qui diffusent en sous-main l’idée que nous ne devons espérer rien de mieux que gagner plus de pognon que le voisin et les religieux puisque personne ne « revient » en déclarant avoir rencontré Jéhovah, Jésus, Allah, Mohamed ou Bouda !


  • Traroth Traroth 19 janvier 2011 12:24

    « (...)  toute la vie on se les pose, car nul n’en détient la réponse absolue »


    Ni même le moindre commencement de début d’entame d’amorce de vague idée de réponse, en réalité !

  • ferrassie 19 janvier 2011 13:21

    L’idée d’une vie après la mort est tout aussi inconsistante que l’existence de dieux. Il ne peut pas y avoir de preuves dans ce domaine où rien de tangible ne peut exister.

    Il ne s’agit que du fruit de l’imagination de certains qui n’acceptent pas que la vie d’arrête définitivement pour chaque être vivant, à un moment donné.

    Pourquoi les tenants de cette illusion ne font-ils pas aussi « revivre » les animaux de compagnie, les insectes, les oiseaux et les végétaux ? Parce que l’homme serait extérieur à la nature ? Parce que l’homme aurait une spécificité autre que celle d’un mammifère comme les autres ?

    Ce n’est pas l’athéisme qui nie cette hypothèse, mais la simple logique.

    La spiritualité est l’autre mot de la croyance au surnaturel. Chacun de nous a le droit de rêver. Mais ces rêves, des fantasmes, ne peuvent plus êtres imposés à tout le monde. Et surtout être présentés comme le reflet de la vérité.


    • Duke77 Duke77 19 janvier 2011 18:11

      @ferrassie : « L’idée d’une vie après la mort est tout aussi inconsistante que l’existence de dieux. Il ne peut pas y avoir de preuves dans ce domaine où rien de tangible ne peut exister. »

      Visiblement, vous n’y connaissez rien. Vous appelez quoi la mort ? L’arrêt des fonctions vitales ? Si vous aviez lu les commentaires ci-dessus, vous auriez appris que des preuves scientifiques démontrent la possibilité d’une conscience délocalisée, lorsque le cerveau n’est plus actif (vidé de son sang). Si la conscience continue (perception, cognition et mémorisation) dans cette situation d’arrêt fonctionnel du cerveau, cela ne signifie-t-il pas qu’il y a une forme d’existence après la mort ? A moins que vous ne pensiez que la conscience vienne du coeur comme nos ancêtres. smiley

      Je vous remet le lien plus haut du Dr Charbonnier (Anesthésiste réanimateur au CHU de Toulouse) qui est un des médecins français s’intéressant à ce domaine :

      http://www.dailymotion.com/video/x9t7dg_jean-jacques-charbonier_tech

      P.S. : la prochaine fois que vous postez un commentaire, renseignez-vous un minimum avant de sortir vos idées préconçues. (conclues depuis votre enfance ?)


    • Duke77 Duke77 19 janvier 2011 18:46

      Au fait, ferrassie, personne ne dit que les animaux n’ont pas les mêmes capacités de délocalisation à part vous. Mais il est difficile de faire répéter à un animal son expérience de sortie hors du corps et de vérifier la véractié de ses dires comme dans le cas de Pam Reynolds...

      http://www.dailymotion.com/video/x40jo9_la-celebre-nde-de-pam-reynolds-emi_tech

      Vous employez « surnaturel »... Vous parlez de quoi exactement. Vous voulez à tous prix mettre les NDe dans le registre des croyances, libre à vous. D’autres, pour beaucoup des médecins (cardiologues, anesthsistes-réanimateurs, neurologues etc.), préfèrent adopter une approche scientifique. Toutefois, si une des expériences scientifiques menée sur le sujet vous semble relever du surnaturel, nous sommes impatient de lire vos explications.


    • ferrassie 20 janvier 2011 11:47

      Duke77,

      Dans votre commentaire touffu du film « fantastique », vous parlez de Sarlat. Or, cette ville n’a pas de bloc opératoire en cardiologie car elle ne compte que douze mille habitants (je connais : j’habite à proximité). Les malades cardiaques sont stabilisés et envoyés à Toulouse pour toute intervention sérieuse comme la pose d’un « stent » par voie artérielle.

      Il est évident que les prétendues expériences dont vous parlez font partie des croyances irrationnelles (que chacun est libre d’avoir, évidemment), qui n’ont jamais été prouvées scientifiquement, c’est-à-dire pouvant être répétées expérimentalement, en laboratoire sous contrôle d’instruments de mesure et soumis à des équipes de chercheurs dans divers pays.

      Sinon, tout le reste n’est qu’élucubrations sans fondement, surnaturelles, c’est-à-dire en dehors des lois de la nature.


  • ykpaiha ykpaiha 19 janvier 2011 14:24

    Acteur bien malgré moi d’une de ces « peceptions » dans les années 75, Je n’ai jamais pu me faire a l« exhibition du sujet.
    Lors de mon »retour« d’un coma de 2 mois j’ai tenté de l’aborder, comme expérience, avec le corps médical Devant le denni, ou le peu d’importance accordé a mon propos, j’ai suivi avec indulgence la vague qui peu aprés a submergé les médias.
    Ce voyage que je crois intérieur et solitaire, reste a mon sens celui fondateur des mysticismes actuels. Comme tels ils n’appartiennent qu’a ceux qui l’ont vécu.
    La description des sensations qui la compose se melent a la forte culpabilisation de celui qui sait.
    Mon besoin de recherche, du »pouquoi moi« et de ce qui en a changé ma vie, est synonyme et antagonique.
    Difficile alors d’aborder le sujet sans le trop féquent manichéisme simplificateur, ou de voyeurisme fanfaron.
    Pour ma part , ayant vu le film de Eastwood, j’ai trouvé ordinaire qu’un homme de son age se pose et pose la question d’un aprés, mais est ce l’après ou juste son seuil ?
    Une trame plus fine sur le »hasard et la necessité" est perceptible comme fil conducteur de sa quete ; A t’il réussi ? Oui car en cela il a montré a tous ce qu’est d’etre humain.


    • Duke77 Duke77 19 janvier 2011 18:33

      @ Ykpaiha : « Ce voyage que je crois intérieur et solitaire, reste a mon sens celui fondateur des mysticismes actuels. »

      Que voulez-vous dire par « intérieur et solitaire » ? De quels mysticismes parlez-vous ?

      Que pensez-vous de la démarche du cardiologue Dr Postel (Hopital de Sarlat) qui se lance dans une expérience de preuve de délocalisation de la conscience ? La mise en place de son étude étant motivée par son expérience d’accompagnateur lors du décès de son père. Il l’a vu jusqu’au bout du « tunnel » (avec sa femme et son gosse), avant que quelqu’un ne prenne le relai de l’autre côté...

      Je vous invite à commander le DVD « Faux départ » sorti fin 2010 dans lequel son témoignage (le monsieur roux enroué dans la bande annonce ci-dessous) et ceux des autres médecins ou « expérienceurs » apportent des informations inédites sur le sujet.

      http://www.dailymotion.com/video/xetrey_bande-annonce-faux-depart-de-sonia_shortfilms


    • ykpaiha ykpaiha 20 janvier 2011 14:07

      Ce qui vous interroge a mon humble avis.c’est un peu la démarche du film,
      Il essaie de retranscrire par 3 allégories des perceptions qui par essence sont purement individuelles et tres intimes, donc aussi nombreuses que les personnes l’ayant vécu.
      Lors de ce traumatisme on est seul et encore plus apres. Non pas que l’on ne puisse retranscrire ses sensations mais par la réception de celle ci.
      Ceux qui ont réussi ,et la j’espere me tromper, ont fondé des philosophies devenues des religions.
      Le seul autre moyen de le transmettre est d’en réduire la portée afin de la rende audible et compréhensible, mais la on rentre facilement dans le roman de gare ou la psycho de bazar...


    • ykpaiha ykpaiha 20 janvier 2011 14:24

      J’ajoute une petite astérisque :
      Une question qui n’a pas recu encore de réponse :

      En « revenant » a la réalité, sans ne rien enlever au « Voyage », n’a t’on pas tendence a se rendre acceptable l’inacceptable, Déja pour soi et ce sans la pollution des poncifs et autres modes.

      Ce fut compliqué il a 35 ans alors a la sauce des bobos syncrétique d’aujourd’hui...


    • Duke77 Duke77 19 janvier 2011 18:12

      Qu’est-ce que tu n’as pas aimé dans Grand Torino ?


  • cestpasunluxe cestpasunluxe 19 janvier 2011 15:48

    Si vous êtes intéressé par le sujet, l’Inrees a fait un bon résumé sur ce sujet.

    Il est présenté par le Docteur Charbonnier qui énumère les preuves scientifiques des expériences de mort imminente (EMI ou NDE).



  • cmoy patou 19 janvier 2011 15:50

    La meilleure façon de se faire une opinion c’est d’aller voir le film, les critiques de cinéma ne sont pas infaillibles car toute critique représente aussi le vécu de celui qui la donne ......-


    Combien de films avaient des critiques négatives au départ alors que finalement ils ont fait un carton.

    Concernant le spirituel,le fantastique ou comment vous voudrez nommé ce qui n’est pas carré et qui ne rentre pas forcément dans le moule, a ceux là conseillerai un bouquin dePierre JOVANOVIC « Enquête sur l’existence des anges gardiens »

  • patroc 19 janvier 2011 16:58

    J’ai vu le film : bof.. L’histoire américaine du médium est pas mal et surtout bien joué mais après, c’est un peu limite.. L’actrice française (oublié son nom, dslé) qui fait l’expérience de la mort ne joue pas très bien (encore dslé) et son histoire est plutôt plate, idem pour le gosse qui perd son frère.. Le mix final des 3 histoires est facile et inutile.. Bref, du pas très bon Eastwood qui finit son film avec les mêmes doutes et les mêmes questions qu’au début..


  • Serpico Serpico 19 janvier 2011 16:59

    J’ai vu le film.

    Eastwood prend grand soin de distinguer le charlatanisme et les faits difficiles à expliquer.

    Très équilibré même si on sent qu’il penche nettement pour la réalité des NDE.

    Et pour répondre à Musima qui croit qu’on se pâme systématiquement devant tout ce qui est US, je dirai simplement que sur AgoraVox, je suis un anti-américain déclaré, incurable et fier de l’être.

    Cela n’exclut nullement que je puisse apprécier ce que produit l’américain et de rester honnête. Mon écrivain préféré est même juif américain.

    Pour en reveni aux NDE, je citerai le cas de Durdan Khan, une fillette de DEUX ANS ET DEMI, qui a vécu une expérience de NDE très troublante.

    Adulte, elle rencontre une allemande, je crois , qui a fait la même expérience qu’elle.

    Cultures différentes, références différentes, âges différents (écart énorme, en fait).

    http://www.outre-vie.com/vieapresvie/recits.htm


  • Alain Michel Robert Alain Michel Robert 21 janvier 2011 16:36

    Bon jour Viko,

    J’ai mis un commentaire sur l’article d’Armelle d’aujourd’hui (« Au-delà de Clint Eastwood »)... qui n’a pas aimé le film.
    Sur vos conseil d’hier, j’ai été voir le film... j’ai aimé.


  • vinvin 21 janvier 2011 21:08

    CLINT EASTWOOD est un très grand acteur, réalisateur, et metteur en scène, et j’ ai aimé TOUS les films que j’ ai pu voir de lui.


    AU-DELÀ doit certainement être un film magnifique et je serais heureux de le voir, et ouvert au sujet don traite le film.

    Ceci-dit, pour ce qui concerne l’ au-delà, moi je crois simplement que : Quand on est mort, on est mort, et puis c’ est tout !


    Cordialement.


    VINVIN.

  • Armelle Barguillet Hauteloire Armelle Barguillet Hauteloire 22 janvier 2011 10:41

    Le sujet m’interpellait au contraire beaucoup, tant je crois que rien ne meurt mais que tout se transforme. Mais ce que je reproche à ce film, c’est de passer justement à côté du surnaturel, d’avoir recours à un discours trop entendu, de ne pas approcher du mystère mais d’essayer de l’expliciter avec des arguments pseudo-scientifiques. J’attendais mieux de Eastwood pour lequel j’ai une grande admiration. Je dirai que j’attendais sans doute... trop.


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