jeudi 23 mai 2019 - par Nagy

Fin de vie

L'Etat et le gouvernement doivent prendre leurs responsabilités. Le maintien artificiel de la vie pour complaire à des lobbys intégristes, n'est pas acceptable. Il faut un complément à la loi, qui permette à chacun de bien maîtriser sa fin de vie, d'être décideur, c’est-à-dire citoyen jusqu'au bout : directives anticipées collectées par un organisme indépendant, personne de confiance.



1 réactions


  • Ruut Ruut 23 mai 2019 22:28

    Je ne vois aucun problème moral à maintenir quelqu’un en vie tant que la personne décideuse a les moyens de financer cette prise en charge.

    J’ai eu récemment un cas en Belgique (Bruxelles) de médecins qui déclaraient une maman bonne a débranchée qui est maintenant en pleine forme et avec ses enfants. Si son compagnon n’avait pas insisté elle ne serait plus là.
    L’aillant vécu ça recadre la problématique et la confiance envers le corps médical. (Peut-être avait-elle des organes compatibles avec un patient riche en attente de greffe ?)


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