jeudi 23 mai 2019 - par
Fin de vie
L'Etat et le gouvernement doivent prendre leurs responsabilités. Le maintien artificiel de la vie pour complaire à des lobbys intégristes, n'est pas acceptable. Il faut un complément à la loi, qui permette à chacun de bien maîtriser sa fin de vie, d'être décideur, c’est-à-dire citoyen jusqu'au bout : directives anticipées collectées par un organisme indépendant, personne de confiance.