dimanche 15 juillet 2018 - par C’est Nabum

Elles en gardent sous la semelle

Les deux font la paire.

Il était une fois une paire de grolles, des vrais brodequins, non pas de ceux qui font le pied de grue au palais Bourbon, mais des godillots au laçage complexe, avec œillets et crochets, des chaussures désireuses de battre la campagne et qui n’avaient qu’un seul désir : « Faire leur chemin ». L’ambition est louable et c’est pour la réaliser que nos godasses étaient là, à aguicher le chaland, dans les rayonnages d’un supermarché de la chose sportive.

Le risque était grand et les chaussures le redoutaient plus que tout, d’être emportées par un amateur au petit pied, un aventurier de pacotille, faisant un achat sans véritablement user jusqu’à la corde celles qui resteraient à jamais dans un placard obscur. Elles rêvaient de mourir à la tâche, d’arpenter des chemins escarpés, de mordre la poussière et d’avaler les kilomètres. Un destin de semelles ailées en somme, une vocation tout aussi louable que glorieuse.

Elles avaient déjà connu quelques tentatives d’adoption. Des pieds timides, recroquevillés, hésitants, fragiles. Des essais sans lendemain, ces curieux voulant savoir à quoi pouvaient bien servir des chausses aussi inesthétiques. Elles s’en moquaient les diablesses de ces considérations oiseuses. Qu’importe les apparences, seuls comptaient le confort du pied et la solidité de la semelle. Le reste n’était bon que pour ces escarpins orgueilleux qui habillent les citadins aux semelles de plomb.

Quand elles se sentirent pénétrées par deux pieds fermes, larges et cambrés, solides et lourds comme il convient à un membre inférieur, elles se sentirent pousser des ailes. C’était le coup de foudre, la symbiose immédiate. L’homme avait de la tenue et aussi des odeurs. Rien ne vaut des orteils qui ne rechignent pas à sentir le pied en action.

L’homme avait des chaussettes qui avaient elles aussi de la distinction. En laine et sans couture, voilà bien la marque de celui qui respecte les convenances. Les chaussures l’avaient compris, elles allaient s’entendre avec ces pieds-là. Un amour qui serait vache, tout comme le cuir dont elles étaient tirées. Une relation faite de souffrance, d’ampoules et de cors aux pieds, d’œil de perdrix et pourquoi pas de quelques verrues plantaires. Un vrai mariage de raison pour le meilleur et souvent pour le pire.

Mais où allait-il les conduire par le bout du nez ? Les godasses n’auraient pas aimé commencer l’aventure par un long séjour dans une valise ou bien un sac, ballottées de transport en transport. L’avion les rebutait, elles qui n’étaient pas fabriquées dans des pays exotiques, qui sortaient tout droit d’un atelier artisanal. Elles voulaient se mettre au plus vite en action, elles brûlaient de lever le pied le plus vite possible. Elles furent servies au-delà de leurs espérances.

Le marcheur était un vrai, un pèlerin du quotidien. Il était venu à pied pour remplacer des vieilles chaussures qui avaient fait leur temps, par tous les temps et sur toutes les routes. Il les abandonnait là, leur préférant désormais ses nouvelles complices. Les godasses, trop heureuses de cette merveilleuse adoption, ne comprirent pas qu’elles avaient sous les yeux, sans doute le sort qui leur serait promis. Elles voulaient aller de l’avant, elles le firent en partant du bon pied.

Mettre un pas devant le précédent constituant le B A BA de la chaussure, elles se firent un malin plaisir de remplir leur mission avec le zèle de celles qui ne se marchent jamais sur leurs lacets. Elles taillèrent la route et des croupières aux chaussures découvertes, misérables, synthétiques, bon marché qu’elles croisèrent sur leur chemin. Elles se payèrent le luxe d’écraser quelques arpions, des indécents orteils vernis jusqu’aux ongles qui eurent la malchance de croiser leur route.

Puis ce fut l’aventure véritable. Adieu le bitume, vive les sentes pentues, les raidillons qui se dérobent sous vos pieds, les fossés à enjamber, les cailloux qui roulent, les mousses qui crissent, la boue et le sable, l’argile et la terre qui colle, les semelles s’alourdissaient, la tige s’affaissait, le cuir se patinait mais l’essentiel était là, la vie était en chemin.

Les godasses savaient que le soir, elles étaient traitées avec amour. Brossées, elles héritaient d’une poudre apaisante pour atténuer les effluves de sueur et parfois de sang, elles étaient essuyées puis bourrées de papier pour absorber ce qui pouvait encore subsister de transpiration. Elles dormaient sous le lit, posées à l’envers selon une vieille pratique berrichonne qui garantissait, parait-il des crampes, celui qui agissait ainsi.

Elles se voyaient choyées comme il convient à des chaussures de prix. Tout marchait à merveille entre elles et le marcheur. Une Lune de miel en somme quand l’orage arriva sans prévenir. Il y eut d’abord des échauffements au niveau du talon. L’homme maudissait la tige trop haute, un léger défaut de souplesse en cet endroit. Puis le sang coula et sonna le glas de la confiance partagée. Il fallut faire des crochets sur le bitume pour visiter des pharmacies. Le marcheur boitait bas, traînait même la patte.

Les chaussures croisèrent un jour une paire plus légère, des pieds plus petits. Il y eut un très long arrêt, une conversation là-haut, entre les deux propriétaires des pieds devenus inactifs. Il était question de confort, de légèreté, de chaussures résolument modernes issues des dernières technologies, de semelle ergo-dynamique, de coussins d’air et de pression des pneus. Les godasses avaient pris un coup de vieux, elles étaient totalement dépassées par une technologie de pointe qui ruinait leurs espoirs de continuer leur route.

Le marcheur avait écouté son interlocutrice. Il allait franchir le pas, adopter les nouvelles tendances, tourner les talons aux vieilles chaussures en cuir. Il se conduisit d’ailleurs comme une vraie peau de vache, rompant le lien qui les unissait, il jeta les godillots dépassés dans une poubelle. L’aventure s’arrêtait là, alors que la belle paire en avait gardé sous la semelle. Privées même de leurs longs lacets, qui peuvent servir à autre chose, selon l’ingrat, elles allaient finir incinérées sans que personne ne disperse jamais leurs cendres sur une terre battue par tous les vents.

Ainsi s’achève l’histoire de cette paire de brodequins. Les belles chaussures partirent en fumée, le vent les emporta au loin, elles étaient légères, légères mais c’était hélas bien trop tard. Pourtant, en survolant une route escarpée, elles le reconnurent, celui qui les avait si lâchement jetées aux oubliettes. Il venait de déchirer une chaussure, la légèreté ne suppose pas la solidité. Elles rirent sous cape, il l’avait bien mérité. Il finirait sa route nu-pieds …

Marcheusement leur

40 r�actions

M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 11:10
Bonjour NA BOUM, les chausses s�res. l’histoire de toute une vie. Ou d’un vit. Montant � Paris en 1985, il me fallait:LA CHAUSSURE : celle, artisanale qui savait se faire PRINCESSE. NOUCHKA pour MICHKA (petite ourse, car c’est ainsi que m’appelait ma voisine DU HAUT, violoniste et Bulgare-du nord). elles avaient cette particularit� que navet pas les autres. elle variait selon l’angle de vue, diff�rait du c�t� droi et du gauche. Elle �tait mercurienne car il fallait bien se diff�rencier d’un g�meaux-jumeau portant le m�me pr�nom que moi : l’oeuf en moins. Un d�tour par les galerie de LA TOISON D’OR (hum !) s’imposait. PASSAGE (pas sage) oblig� pour une ex-midinette (chaussette Burlingtion, chaussure SALAMANDER, pull SHETLAND, cuir au coude, patte d’eph,..) qui filait intello. Paris veau bien une messe basse pour monter en haut. Les Nouchka aujourd’hui ont bien d�clin�. Lire Henning Mankell (il me manque). .
- Les Chaussures italiennes, 2009 ((sv) Italienska skor, 2006), trad. Anna Gibson.
- Et donc, revenons � l’agneau qui se fait agni et avant de quitter PARis non tenu, j’emportais mes ARCHES, qui d�j� imprimait mon futur, dans le sol du retour aux pays. Au diAble PARIS. Bruxelles ma belle,... mais par une d�tour rue de Midi. Les souvenirs vous collent au basques,...Cette fois, le jumeau se fit saigneur (rencontre pile-poil un 29 septembre,... Saint Miche aile brandit sa lance (dans le pied) sur le DRAGUE � EONS. Depuis que mes chausses sont rel�gu�es aux placard, je me suis enfin fix�e,...j’ai pris mon en vol. Na�tre � Renaix. Quelle malchance qund c’est du c�t� de RONCE (et ses ronces), mais du c�t� de l’oiseau de FEU je pros la route de RENE CHAR, � l’assaut du PHENIX. Et une nouveau d�part qui n’en fut pas un : de la Pologne je retournais � la Pologne. De GUY � guy, de F � W, L’alphabet de la chaussure vout cinduit tours sur le bon chemin."N3, il me fallait revenir sur l’objet de ma haine et la jeter une fois pour toutes aux oubliettes. Bonjour Y. GUILBERT. Ou l’art de s’accorder (�me et lie POULAIN).
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- C’est Nabum 15 juillet 2018 11:32
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  Je vous ferai ma demande en vous chaussant
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 11:40
  
  @C’est Nabum
  https://www.google.be/search?q=chaussure+am%C3%A9rindienne&num=20&newwindow=1&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjlooDb56DcAhXKa1AKHVV0DGQQ_AUoAXoECAEQAw&biw=1280&bih=673#imgrc=8rzpLol6jtAdOM :. Chaussures am�rindiennes. DE LA HAUTE
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 11:17
Jamais deux sans TROYE : Bonjour NA BOUM, les chausses s�res. l’histoire de toute une vie. Ou d’un VIT. Montant � Paris en 1985, il me fallait : LA CHAUSSURE : celle, artisanale qui savait se faire PRINCESSE. NOUCHKA pour MICHKA (petite ourse, car c’est ainsi que m’appelait ma voisine DU HAUT, violoniste et Bulgare-du Nord). elles avaient cette particularit� que navet pas les autres. elle variait selon l’angle de vue, diff�rait du c�t� droit et du gauche. Elle �tait mercurienne car il fallait bien se diff�rencier d’un g�meaux-jumeau portant le m�me pr�nom que moi : l’oeuf en moins. Un d�tour par les galerie de LA TOISON D’OR (hum !) s’imposait. PASSAGE (pas sage) oblig� pour une ex-midinette (chaussette Burlingtion, chaussures SALAMANDER, pull SHETLAND, cuir au coude, patte d’eph,..) qui filait intello. Paris veau bien une messe basse pour monter en haut. Les Nouchka aujourd’hui(s) ont bien d�clin�. Lire Henning Mankell (il me manque). .
- Les Chaussures italiennes, 2009 ((sv) Italienska skor, 2006), trad. Anna Gibson.
- Et donc, revenons � l’agneau qui se fait agni et avant de quitter par IS non tenu, j’emportais mes ARCHES, qui d�j� imprimait mon futur dans le sol du retour aux pays. Au diAble PARIS. Bruxelles ma belle,... mais par une d�tour rue de Midi. Les souvenirs vous collent au basques,...Cette fois, le jumeau se fit saigneur (rencontre pile-poil un 29 septembre,... Saint Miche aile brandit sa lance (dans le pied) sur le DRAGUE � EONS. Depuis que mes chausses sont rel�gu�es aux placards, je me suis enfin fix�e,...j’ai pris mon en vol. Na�tre � Renaix. Quelle malchance quand c’est du c�t� de RONCE, se levant du pied gauche et maladroii (et ses ronces), mais du c�t� de l’oiseau de FEU je pros la route de RENE CHAR, � l’assaut du PHENIX. Et une nouveau d�part qui n’en fut pas un : de la Pologne je retournais � la Pologne. De GUY � guy, de f. � W, L’alphabet de la chaussure vous conduit toujours sur le bon chemin.« N », il me fallait revenir sur l’objet de ma haine et la jeter une fois pour toutes aux oubliettes. Bonjour Y. GUILBERT. Ou l’art de s’accorder (�me et lie POULAIN).
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 11:27

Lapeyre pour voir clair,...Etonn�e � la POINTE d’IBIZA de m’entendre dire comme par le Cygne du destin � c�t� de mon amie coiffeuse et sosie de Marie Lafor�t qui coupait les cheveux de ma grand-m�re flore,...Toi tu as le pied grec (le deux doigt qui domine et elle le pied �gyptien. Coup� en biseau. Il n’y a pourtant qu’un NIL. et depuis, je pr�f�re toujours le lin � l’haleine. Elle retient moins les ODES HEURES (bonjour le LAC). si les deux font la paire, les contraire s’attire : je me ferai �gyptienne et Sinuerai avec SI NOU« h »E. sur le mica de WAL TARI.

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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 11:29

Deuxi�me doigt qui domine. COMME LE PHARE d’ALEXANDRIE et son quatuor. HOMMAGE A LILIANA. STOIT ZEVA.

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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 11:30

YAOURT BULGARE. GARE AUX CROATES,...

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- C’est Nabum 15 juillet 2018 11:32
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  Je me cramponne � cet espoir
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 14:59
  
  @C’est Nabum
  
  D�flor�e par le sosie de Nour�ev,....https://www.google.be/search?q=nour%C3%A9ev&num=20&newwindow=1&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwilic2slKHcAhUC3iwKHS7WCygQ_AUoAXoECAEQAw&biw=1280&bih=673#imgrc=5Me-CW81FOkgEM :
  
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- zygzornifle 16 juillet 2018 14:19
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  aux croates de mouches ?
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 14:49

F�rus d’Antiquit�, de vers et de bud�s
Id�latrant C�sar, S�n�que et Apul�e
Ne tournons pas le dos aux boutades candides.
Amoureux d�fenseurs de la flamme olympique,
Libres d’entonner un victorieux cantique
Et r�vant de go�ter � la coupe splendide.

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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 14:56

Docteur, je n’ai plus d’UTE « RUSSE », CROA, CROA,. Mais Madame, prenez du th� � l’amante,...

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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 14:56

A Philippe GELUCK et le jeu des DICTIONNAIRES,...

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pallas 15 juillet 2018 15:08

C’est Nabum
Bonjour,

L’heure de la terreur ne fait que commencer, nous vivons sur une plan�te maudite.

Elle devient st�rile, c’est un fait absolu.

Bient�t plus aucunes fleurs ne poussera, il n’y a presque plus de papillons et oiseaux.

Les hommes doivent expier, notre monde devient une 8 emes chambre du Had�s, proche du Tartare.

C’est ainsi la punition qui me semble la plus juste, n’incluant pas les autres, en ce faisant condamne l’humanit� � une mort rapide et douloureuse.

Tel est la voie choisie et le destin de ceux qui l’ont voulus, il n’y a rien d’autre que la mort, pas d’immortalit�, pas de seconde chance, pas de pardon.

Les humains n’ont toujours pas compris � ce que je vois

Salut

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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 15:20
  
  @pallas
  
  PALACE ch�ri : La treizi�me tribu,...
  
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- C’est Nabum 15 juillet 2018 16:42
  
  @pallas
  
  Tout est perdu sauf la vanit�
  
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- pierre 15 juillet 2018 18:35
  
  @pallas
  mdr, vous �tes le personnage avec un tambour dans tintin « l’�toile myst�rieuse », exactement le m�me
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 15:24

Jour de l’ail. Pour faire fuir DRACULA. La 25�me heure,...

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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 15:30

En 1939, dans un village roumain, un homme, Iohann Moritz, est d�nonc� comme �tant juif alors qu’il ne l’est pas, par le chef de la police locale qui convoite sa femme. Moritz est alors envoy� en camp de travail. Son �pouse Suzanna est contrainte de demander le divorce pour conserver de quoi �lever ses fils. S’�vadant avec d’autres d�tenus juifs vers la Hongrie, pays � o� la vie est moins dure pour les Juifs �, il est alors pris pour un espion roumain. Tortur�, il est ensuite envoy�, en compagnie d’autres travailleurs hongrois � volontaires �, en Allemagne. Il est sorti du rang par un m�decin SS, consid�r� comme sp�cimen exceptionnel de puret� de la famille h�ro�que, lointaine lign�e aryenne. Il finit la guerre dans les SS et se laisse �pouser par une Allemande, avant d’aider des prisonniers fran�ais � �chapper � leurs ge�liers et leur permettre ainsi de rejoindre les Am�ricains. Le consid�rant alors comme ressortissant d’une nation ennemie, ceux-ci l’internent une fois de plus avec les prisonniers de guerre. Iohann Moritz est finalement lib�r� en 1949, soit dix ans apr�s �tre entr� dans les camps.

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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 17:16
  
  @H le y�ti
  
  Vous avez parfaitement saisi, je l’ai lu � 12 ans. je commen�ais ma collection de livre : J’ai d�but� par le premier (ordre alphab�tique, sautant quelques �tapes,...pas encore les moyens de m’offrir la Pl�iade). Juste le poche. KOEINGSMARK de Pierre Beno�t. la Pl�iade, c’�tait du fort : LES DEMONS. Merci les DIABLES,...
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 15:37

19 : LE SOLEIL.

Ces Belges qui ont fait la France
Livre de No�l Anselot

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pallas 15 juillet 2018 17:58

C’est Nabum
Bonjour,

Le femme � la base fait conception de la vie par �a chair, donc instinctivement fait le liens entre la Vie et la Mort.

En tant qu’homme, je ne peut pas avoir pareil capacit�, je ne vie que dans l’instant, n’ayant aucunes conceptions basiques entre la vie et la mort.

Nous vivons dans un monde ou la femme n’existe plus, donc plus d’hommes non plus.

C’est l’harmonie, �a ne me d�range pas qu’il n’y est pas de femme en ce monde, bien au contraire.

Je pr�f�re cela, vraiment, une femme au beau milieux de ces femelles humano�des d’apparence me d�rangerai.

Tout �go qu’elle veuille et souhaite, mais bon, �a n’est pas un ordre de ma part, juste une suggestion.

La vie impose des choix, le miens a �t� fait depuis longtemps.

C’�tait juste mon voeux � la base, et il n’y a rien de p�joratif, n’y viril.

Juste assumer seul cette existence.

Salut

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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 18:03
  
  @pallas
  
  relisez les hommes prot�g�s de Robert MERLE.
  
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- pallas 15 juillet 2018 18:31
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  Pas besoin de lire,
  
  D�j� il y a « elle » et puis « vous ».
  
  J’ai clairement du mal � vous comprendre, vous deux sinc�rement.
  
  Agissez comme vous voulez et faites vos exp�riences finalement.
  
  Salut
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 18:38
  
  @pallas
  
  je parie sur PAGBO. PAQUEBOT. Le navire castr�,.. ;� PAQUES.
  
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- C’est Nabum 15 juillet 2018 18:44
  
  @pallas
  
  Assumons donc
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 18:47

Les tirailleurs s�n�galais,...auront leur revanche,...marine coucouche,...

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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 18:55

j’�coute VASSILIU.

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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 18:57

MERCI PAQUEBOT,....

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- C’est Nabum 15 juillet 2018 19:00
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  Il coule
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 17 juillet 2018 18:57
  
  @C’est Nabum
  
  FLUCTUAT NEC MERGITUS.
  
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juluch 15 juillet 2018 19:22

L’id�al pour la marche : la rangers !

ou les nouvelles f�lin !!

Bien aim� merci nabum !!

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Esprit Critique 15 juillet 2018 19:49

on prend son pied !

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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 19:53
  
  @Esprit Critique
  
  Uranus dans le CYGNE de terre face au scorpion-morpion. Cela va swinger,...A FREUD, qui se promenait dans l’inconscient. Taureau ascendant scorp�on.
  
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pallas 15 juillet 2018 19:58

pierre

Bonsoir,

Sa serai merveilleux que je sois le personnage au tambour dans tintin ?.

Non, �a n’est pas le cas.

Je serais plut�t le personnage du diable, faisant simplement cr�ance et demandant paiement imm�diat.

Avec tambour si cela vous enchante .

Il faut payer, ici et maintenant, et il n’y aura pas de n�gociation.

Je fais le tambours : bam bam bam bam !!!

Fini de jouer.

Salut

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- C’est Nabum 15 juillet 2018 20:06
  
  @pallas
  
  Je fais la trompette
  
  Je ne vais pas laisser tambour sans sa copine
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 20:23

https://www.google.be/search?q=crabe+TAMBOUR&num=20&newwindow=1&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwiclNfy3KHcAhXCLVAKHfQ3CYYQ_AUoAXoECAEQAw&biw=1280&bih=673#imgrc=mM8COIWdOwElaM :

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M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 juillet 2018 20:40

Ca c’est du mec. https://www.google.be/search?q=pierre+schoendoerffer+cremer&num=20&newwindow=1&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwio6sS_4KHcAhVPZVAKHYEcA2cQ_AUoAXoECAEQAw&biw=1280&bih=673#imgrc=7hKJUMnlClKl9M :

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zygzornifle 16 juillet 2018 14:21

Parait que la police confisquait une chaussure sur les 2 aux migrants .....

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- C’est Nabum 18 juillet 2018 06:15
  
  @zygzornifle
  S’ils viennent d’un pays qui utilise des mines antipersonnelles
  
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Elles en gardent sous la semelle

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