mercredi 5 décembre 2018 - par michelm

La vengeance des rats des champs sur les rats des villes

Bin oui quoi, que sont donc les " Gilets jaunes ", si ce n'est des saletés de miséreux rats puants qui étaient jusqu'alors sifflés par la bien-pensance essentiellement médiatico-citadine ?

" Rats Puants Sifflés ", comme RPS, c'est pas mal, hein ? RPS = Risques Psycho-Sociaux selon ce gouvernement, un concept si bien relayé par les syndicats collabos qui, en pleine contestation populaire heu populiste pardon et d'après leur " grille de lecture ", organisent des manifestations contre " le sexisme au travail ", contre " l'homophobie partout ", invitant leurs adhérents et les employés de l'État à dénoncer tout comportement jugé abusif, selon la doctrine communautariste qui explose tout sur son passage.
Cela en pleine éclosion de scènes d'émeutes et de la répétition d'icelles (un truc jamais vu depuis plusieurs générations, une génération correspondant à 25 années). L'État et ses potes les syndicats voudraient lancer des contrefeux qu'ils ne s'y prendraient pas autrement, n'est-ce pas ?

Voici donc que ces répugnants rats des champs s'en viennent souiller par hordes entières et avec leur misère et leur boue, l'habitat si bien léché de leurs faux-frères, les rats des villes. Et qui, comble de l'ignominie, brûlent de-ci, de-là, quelques rutilantes bagnoles réservées à l'élite de la race élue des rats des villes ! Bon sang, mais que font les forces de l'ordre, palsambleu de saperlipopette ?!! Bin oui heeee ! Quand les voitures crament dans les banlieues et dans les campagnes, c'est normal : la misère appelle la misère, et qu'ils en crèvent même parfois, c'est tout à fait naturel puisque les rats de villes sont instruits et soignés, contrairement aux rats des champs qui vivent comme des bouseux.
En revanche, lorsque deux ou trois SUV sont retournés comme de vulgaires victimes de " tournantes de quartier " , les médias en tartinent des tonnes tant l'effroi des rats des villes bien-pensants est viscéral !

Aussi, ceux-ci pensaient-ils avoir réussi à cultiver entre leurs cousins puants et eux-mêmes, une bande de terre neutre qui leur permettrait, à jamais croyaient-ils, de préserver cette juste répartition entre le clinquant de leurs cités, la morosité des banlieues et la " glauquitude " des campagnes (ou l'inverse, mais les rats des villes s'en tapent de toute façon). Un espace d'aisance quoi, entourant chaque grande cité, et à même d'éviter toute indésirable promiscuité entre raffinement et vulgarité.


Un endroit dans lequel les rats des champs versaient, toutefois et comme de bien entendu, une aumône afin de préserver " la paix sociale ". Il suffisait pour cela d'un peu d'imagination, en plus de ne pas se mêler de la vie de ces rats d'égout. Car, en effet, ces finauds de rats des villes avaient créé une nouvelle caste de rongeurs, en faisant notamment venir tout plein de rats étrangers qui s'étaient additionnés à d'anciens rats des villes, c'est à dire ceux qui ne pouvaient plus honorer leur loyer : les sous-rats, dits " d'égout ".

Tout allait donc fort bien dans le meilleur des mondes.
Chacun à sa place :

- le brillant, les Lumières, les rutilants magasins aux rats des villes

- la fausse fraternité payée pour les rats d'égout

- la régulière réduction du niveau de leur vie pour les rats des champs.


Hélas, mais c'est là l'éternelle erreur que font ceux qui, depuis que l'humanité s'est constituée en société, prétendent du haut de leur hybris, de leur chutzpah, être des êtres supérieurs, ce meilleur des mondes ne pouvait bien évidemment pas durer.
Et c'est donc ce qu'ont (enfin) décidé de mettre à terre depuis trois semaines, les véritables français. Ces " gaulois réfractaires ", affreux, sales et méchants, feignants, incultes, branleurs en un mot, et selon un mini président d'une extraordinaire incompétence ; selon un morveux de quarante balais aussi infatué qu'il est indécent d'immaturité, " élu " sur un poste autrefois supposé être respectable, car suprême : président de la République française.
Et c'est donc ce qu'ont (enfin) décidé de mettre à terre depuis trois semaines les rats des champs, tellement ils n'en peuvent plus de cette répartition obscène des rôles, à force de leur durabilité et de l'oppression infinie qu'ils génèrent.

Gare à vous, rats des villes : vous avez dégusté votre pain banc, vous allez désormais ronger le pain noir que vos cousins honnis des champs vomissent aujourd'hui.

Bonsoir/Bonjour chez vous, les " Gilets jaunes " ! "



26 réactions


  • Clark Kent NEMO 5 décembre 2018 16:10

    c’est cela, oui...

    on connait...

    les jeunes sont victimes des vieux

    les femmes sont victimes des hommes

    les salariés des retraités

    etc...

    et pour l’auteur de l’article, les bosseurs des villes sont victimes des fainéants de la campagne, les bouseux, 

    c’est une façon comme une autre de dresser les uns contre les autres des groupes pour ne pas aborder les questions qu’ils soulèvent

    les Américains appellent ça « wedge issue »

    ça marche souvent assez bien, mais là, ça parait tellement à côté de la plaque que ça ne devrait pas produire beaucoup d’effet


    • aimable 5 décembre 2018 17:18

      @NEMO
      comme les Rats des champs sont les moins nombreux ,vu le nombre dans Paris je ne suis pas sur qu’ils étaient les plus nombreux et pourtant bien malin celui qui peut différencier tous ces Rats , perso je suis un Rat des champs qui a passé 40 ans en IDF avec une majorité de Rats des villes dont les ancêtres pour la plupart venaient des champs et il ne faut pas se tromper ,dans nos campagnes les quolibets qui nous étaient destines dans ma jeunesse venaient des Rats des champs fraîchement devenus des Rats des villes .


    • Clark Kent NEMO 5 décembre 2018 17:42

      @aimable

      le plus important, c’est que les rats finissent par comprendre que ce n’est pas intelligent d’élire des chats pour les diriger !

      les chats sont tous des fieffés menteurs très rusés qui sont gavés de croquettes par les proprios qui les ont chargés de faire régner l’ordre dans la maison

      s’ils avaient oublié (ce que je ne crois pas) qu’ils sont de la même famille, les jeunes chats prétentieux ont de toutes façons fini par les énerver en se moquant d’eux et en rendant le fromage inaccessible

      ce que les proprios n’ont pas compris, c’est que ces rats-là ne sont pas des parasites, mais les créatures mystérieuses qui remplissent miraculeusement leurs comptes en banque

      quand ils l’auront compris, ils remplaceront les chats par renards, plus rusés, tant que les rats n’auront pas compris qu’ils peuvent très bien s’organiser eux-mêmes


  • Nicolas_M bibou1324 5 décembre 2018 16:28

    Affligeant de vulgarité. J’ai machinalement arrêté la lecture au bout de quelques phrases, comme on dévie sans même y penser son pied d’un étron posé sur le trottoir.

    Le but d’un média devrait être d’informer, de revendiquer, de toucher les lecteurs. A part les bas-fonds peuplés de bas de plafond, vous ne toucherez que votre clavier.


    • michelm michelm 6 décembre 2018 00:22

      @bibou1324

      Confondre vulgarité avec familiarité ou avec grossièreté (oussa dans ma prose ?), c’est déjà une erreur manifeste d’appréciation (ou bien d’inculture plus exactement, mmhm ?)

      Mais, en sus, évoquer un « étron » pour qualifier la publication d’autrui, c’est assurément se vautrer soi-même dans cette vulgarité, dans cette suffisance à laquelle nous ont habituée depuis pas mal de temps ceux qui prétendent nous « diriger », et qui correspondent pile-poil à ces rats des villes « mis en images » dans mon si « bas de plafond » pamphlet.

      C’est à dire à cette caste d’énergumènes à la Macron et consorts qui se prétendent tellement supérieurs à ceux qui, pourtant, les tétanisent aujourd’hui à tel point qu’ils en « baissent leur froc », et comme s’en délecte le si grossier mais néanmoins meilleur humoriste français en fonction (les chiffres de fréquentation en témoignent) M. M’Bala M’Bala Dieudonné, dans la toute dernière vidéo qu’il a publiée hier soir.
      Une véritable horreur en l’occurrence, et que je ne vous invite surtout pas à visionner tant elle risque de vous rendre ô combien nauséeux par la vulgarité qu’elle trimballe.

      Et, sinon, en ce qui concerne les « Gilets jaunes », vous cautionnez le mouvement ou bien vous vous pincez le nez ?


  • Sergio Sergio 5 décembre 2018 16:59

    C’est presque du prosélytisme à la guerre civile que vous écrivez, vous devez vous tromper d’adversaire, je crois.


    • michelm michelm 5 décembre 2018 23:20

      @Sergio

      Pouvez-vous précisez, svp ?
      Je décris mon sentiment de ce que je vois (trois samedis sur le terrain, le quatrième à venir), de ce que je lis depuis trois semaine.

      Ce « presque », c’est parce que vous craignez quelque chose, quelqu’un ?


  • michelm michelm 5 décembre 2018 21:54

    Après des années de fréquentation de sites de « réinformation » (je dispose d’une liste non exhaustive mais toutefois fort bien pourvue de la chose, pour ceux qui la demanderont), j’ai lâché les médias dits « officiels » et / ou subventionnés suite au terrible « Euromaïdan ».

    C’est ainsi que j’ai définitivement basculé du côté de la « Force obscure ». Ce qui me vaut désormais, et d’une manière générale, un problème de communication avec autrui un tantinet fâcheux. Mais la liberté de penser est à ce prix.

    Aussi, à force de centaines de publications lues, toutes plus édifiantes les unes que les autres ainsi que de consultation de mille et un million de commentaires non moins « instructifs », j’ai rédigé ce pamphlet, initialement destiné à mon compte VK et à mon blog.

    Puis, à force de (re)lecture afin d’en corriger les fautes d’orthographe et autres incohérences, je me suis dit que je pourrais bien en tenter une diffusion publique quand même. M..., quand même !

    C’est donc chose faite avec ce « baptême du feu » que m’offre « La communauté des modérateurs d’AgoraVox », que je remercie chaleureusement !

    Comme il s’agit d’un pamphlet (qui s’inspire très librement de la fable de Jean de La Fontaine « Le Rat de ville et le Rat des champs »), j’ai pris soin d’opter pour une rubrique « alternative » du site : « Été léger ». Puisqu’il n’était évidemment pas question pour moi de faire de l’ombre à qui que ce soit, ici.

    À la lecture des quelques commentaires glanés par ma prose, je constate que l’exercice n’a pas été pris pour ce qu’il était. Et, surtout, que pour le coup, les contresens semblent être majoritaires dans les avis émis.

    Je laisse donc en conclusion un indice qui, je l’espère (mais bon, hein, nul n’est prophète en son pays, à ce qu’on a dit...), pourra aider les moins obtus / imbus à piger le sens de mon propos : remplacer les expressions « rats des villes » et « rats des champs » par « citadins » et « provinciaux » peut aider à la compréhension du tout.

    Pour le reste, et comme je l’ai écrit en conclusion : longue vie aux « Gilets jaunes » !

    Et bonjour / bonsoir chez vous, « agoravoxiens » et « agoravoxiennes » !


    • Sergio Sergio 5 décembre 2018 23:02

      @michelm

      Ok, provinciaux ou gens des villes, on avait compris mais ça revient au même ! Les gilets jaunes sont autant citadins que provinciaux ... Pamphlet ou prose, Monsieur Jourdain en faisait de meilleures que vous, même sans le savoir !


    • michelm michelm 5 décembre 2018 23:15

      @Sergio

      Je suis francilien depuis ma naissance (banlieusard, puis parisien), et je bosse à Paris depuis 40 ans : j’affirme que mes « voisins » ne sont pas aussi supporteurs des « Gilets jaunes » que ne le sont les provinciaux. Ne serait-ce que parce qu’ils s’abreuvent auprès de médias parisianistes qui leurs évitent de ré-flé-chir.

      Accessoirement, des dizaines de vidéos en témoignent : les citadins sont nettement moins « gilets jaunes » que ne le sont les « français périphériques ».


    • generation désenchantée 6 décembre 2018 00:21

      @michelm
      bien plus d’infrastructures , et plus individualiste pour chaque citadins , moins de besoins de la voiture a cause des transport en commun et service publique proche et hôpitaux , police , haut débit
      mais le jours où une ville est dans le black-out total , chaque citadin sera seul , qui va l’aider ?
      plus d’électricité , plus d’eau , plus de chauffage , plus de réseaux , plus de métro , plus de frigo , plus voiture électrique

      ce qu’il y a de bien avec , le mouvement gilet jaune , c’est que pour une fois , tous les bobo écolos , vont pouvoir vérifier un truc , la décroissance qu’ils prônent pour les autres , ils vont pouvoir se l’ appliquer si il y a un blocage total des approvisionnement et ravitaillement des commerces

      je pense que les "provinciaux et les banlieusards seront les plus résilients que les citadins , en cas de problème de ce genre


    • michelm michelm 6 décembre 2018 00:42

      @generation désenchantée

      Pour sûr que les citadins « rats de villes » (excusez ma vulgarité, mais c’est dans ma nature), et qui plus est ces rats devenus bobos par servitude volontaire à des dogmes idiots et malfaisants et dont la « transition écologique » n’est pas le moindre, pour sûr que ces citadins risquent fort de déchanter lorsque la bise sera venue.

      À propos de décroissance, j’ai récemment « rencontré » un certain Jacques Nikonoff lors de mes pérégrinations « réinformatives ».
      Aussi, que ce type soit un politicien en puissance, un frangin et / ou je ne sais quoi d’autre du même tonneau, je m’en tape. En revanche, et au même titre que Chomsky en son temps (et ce qui me concerne, pour ce qui a été mon éveil intellectuel), Nikonoff a le mérite de présenter une analyse des « causes cachées des choses » que je trouve particulièrement pertinente.
      Qui plus est comparé aux intellos qui pérorent, qui brassent du vent dans tous les salons où l’on cause dans les médias « mainstream » !

      Bien à vous.


    • michelm michelm 6 décembre 2018 13:51

      @Sergio

      « ... Même le cul des poules, maintenant il faut le calibrer » smiley

      Quant à « Saturnin », c’est mon enfance en effet : quel boulot de faire jouer ces bestiaux, puis de faire le montage de cette série ô combien réjouissante !

      Les vieux cons (mâles blancs de plus de cinquante balais, etc.) se satisfaisaient vraiment de pas grand-chose, hein ?

      Merci pour ce puissante retour au millénaire dernier.


    • Sergio Sergio 6 décembre 2018 18:25

      @michelm

      Michel, vous avez pris mes sarcasmes avec humour, je n’en doutais pas et cela me rassure et en conséquence je vais me modérer à votre égard, bien à vous. Pierre Perret n’était pas mal non plus.


    • L'enfoiré L’enfoiré 6 décembre 2018 18:25

      @michelm bonsoir,
       Sans placer les rats des villes en opposition aux rats des champs, il y a une évidence, vivre en vielle coûte bien plus cher qu’à la campagne.
       La nourriture, le revenu cadastral, les taxes ...
       Cela me rappelle un billet que j’avais écrit un peu dans le même sens : « Le manichéisme entre passé et avenir »
       Sans pour cela revenir au millénaire dernier, on ne vit pas au même rythme à la campagne


    • L'enfoiré L’enfoiré 6 décembre 2018 18:44

      « en vielle » est à changer par « en ville ». Sorry. 


    • michelm michelm 6 décembre 2018 19:56

      @L’enfoiré
      Pourquoi un pseudonyme aussi réducteur pour un tel foisonnement ???
      Car elle très fréquentable votre prose, et ne fait certainement pas penser à celle d’un enfoiré... Question anecdotique : le subjonctif est-il lettre morte en Belgique ? Aussi bien dans votre texte que dans l’article sur les entreprises les plus anciennes, j’ai été « frappé » par l’usage du présent de l’indicatif en lieu et place de celui du subjonctif...

      Pour le reste, c’est bel et bien la mentalité qui change l’homme. Ça et son penchant naturel pour la flemme qui le fait apprécier le moindre effort. Et, dans une société de plus en plus robotisée/informatisée et, désormais, « dématérialisée » avec, « cerise sur le gâteau », ce redoutable concept de nomadisme et de son « homme augmenté » qui fait tant rêver les « génies » de la Sillicon Vallée mais qui, moi, me font « flipper grave », je crains le pire pour l’avenir de l’humanité !

      La mentalité, ce mot qui déplait à votre père (que je comprends décidément bien même si je n’ai que 58 piges) quand il est employé pour justifier un comportement qu’il n’apprécie pas, est directement liée à la société dans laquelle évolue l’humain. En l’occurrence, celle que j’ai vue se mettre en place en la plupart de mes contemporains depuis que j’en ai conscience, est consécutive à l’arrivée d’une civilisation éminemment matérialiste. Et qui a fini par fait fi de la spiritualité.
      Ce truc essentiellement lié (me semble-t-il) à la religion (dans ses textes, pas dans son application). Ce machin qui servait à mettre en garde l’homme contre un individualisme (plus ou moins) inhérent à sa nature profonde (et à l’instar de la flemme, au passage !), ce penchant qui risquait de devenir pur égoïsme à force de jouissance matérielle... Je la fais courte (enfin bon, heu...) car il s’agit d’un forum, pas d’une tribune.

      Et ce qui m’interpelle à l’heure actuelle, et cela d’autant plus que je suis athée, c’est que je crois bien que l’advenue de cette société, de cette civilisation que j’estime désormais n’être plus que matérialiste, et dont les instigateurs ont sciemment détruit la spiritualité (je le prétends), ruine aussi sûrement la nature humaine que le gaz lacrymogène brûle la gueule de celui qui en est aspergé !

      Enfin, si la vie en ville coûte plus chère que celle à la campagne, cette différence est, était compensée (matériellement toujours) par un salaire calculé en conséquence. Et là se radine à nouveau l’idée selon laquelle le changement de millénaire n’a pas eu que des effets positifs pour l’être humain.
      J’écris même plus : la « modernité », tant vantée par les instigateurs de cette société du XXIè siècle, est en train de montrer sa nature hautement létale pour l’âme humaine. Donc, et cela dans un terme de moins en moins lointain, pour l’idée même que je me fais de l’humanité. Une idée qui est évidemment tributaire de l’essence chrétienne / catholique de la culture, de l’histoire, du pays dont je suis issu, c’est à dire la France.

      Bien à vous.


    • generation désenchantée 6 décembre 2018 20:44

      @michelm
       les rats des champs et les rats d’égouts risquent peut être d’ être le pire cauchemars des rats des villes , si les deux , en colère , débarquent en même temps dans la ville
      le retour a la réalité du pays va être dur pour le rats des villes , pas certain que les rats des villes puissent réagir , a moins qu’ils perdent leurs beaux vernis civilisés et brillants , et qu’ils se réveillent lorsque la tempête arrive


    • michelm michelm 6 décembre 2018 21:43

      @generation désenchantée
      En cas d’effondrement du système (j’ai craqué avant la fin du bouquin, sans doute n’étais-je pas prêt pour le lire), ce sera pour l’ensemble du règne « animal » que l’impact se fera sentir, au point où en sont les uns et les autres dans notre très, très déliquescent monde occidental.
      Quand bien même, du côté de la « campagne », on puisse se dire que du fait des ressources que la terre offre et des connaissances qu’en ont les « rats » qui la travaillent, ceux-ci pourront continuer à se sustenter, à survivre, contrairement à ce qui se déroulera dans nos cités tellement dépendantes de la campagne, justement.

      Et j’ose même prétendre, au travers de ce que je vois chaque jour au boulot, que les « hommes modernes » qui pullulent désormais dans nos mégapoles (exemple certes un chouïa caricatural, mais il faut savoir que de tels délires sexuels existent comme jamais au XXIème siècle, puisqu’ils sont incités par le communautarisme ambiant), que de tels énergumènes seront parmi les premières victimes du changement radical de société que pourrait amener la crise des « gilets jaunes ». Dans le cas où celle-ci aboutissait vers un changent de paradigme économico-sociétal.


  • troletbuse troletbuse 6 décembre 2018 14:17

    Achetons tous un plug en plus du gilet jaune.


  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 6 décembre 2018 18:44

    Le blême est la définition du rat d’égout...


    • michelm michelm 6 décembre 2018 20:01

      @Aita Pea Pea

      Il fallait bien que je dissocie, parmi tous ces rats et entre les rats des villes et les rats des champs, les rats déracinés qui ont été « parqués » dans cette espèce de « no man’s land » que représente la banlieue.

      Je soupçonne que vous preniez au premier degré le mot « rat ». Perso, je suis natif du signe du Rat dans l’astrologie chinoise, et cela ne m’a jamais perturbé, hein...


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 6 décembre 2018 20:15

      @michelm Sauf que de la vieille fable vous degagez une nouvelle catégorie avec une connotation pas terrible : égout . Bon après vais pas vous faire un procès d’intention. Le politiquement correct m’emmerde.


    • michelm michelm 6 décembre 2018 20:18

      @Aita Pea Pea « Le politiquement correct m’emmerde. » Moi non plus.

      Je vous accorde que « rat d’égout » est plutôt violent comme concept, mais je me suis expliqué sur la « genèse » de mon pamphlet dans ce fil. Ce qui, je crois, atténue ladite violence...

      Bien à vous.


  • Esprit Critique 6 décembre 2018 21:11

    Certains rats dit , « des chants populistes », pour ceux qui n’auraient pas bien compris, c’est une sorte de Shadocks, en on « Ras » le fion d’ « Emmanuelle Néron ».

    Et ils en expriment le « D’égout ».

    Confondre le lien Social avec la « Diversitude » mondialiste est la conséquence de confusion mentale bobo innée.


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