mercredi 13 janvier 2010 - par Defrance

Plus de deux Francais sur Trois (67%) n’ont plus confiance aux politiques en Place !

Un sondage Sofres EDIFIANT, c’est triste mais la démocratie ne semble plus au Rendez -vous ?

En Fait beaucoup de Français connaissaient le résultat, mais c’est la première fois que l’on "mesure" la chose !
 
Moi même je dénonce la manière de gouverner depuis plus de deux ans, mais je me sens bien seul, car je ne VEUX pas me compromettre avec un parti politique. Comme Patrick Sebastien qui a crée le DARD, je crois qu’il faut faire quelque chose AVANT que la marmite Explose !
 
Mon blog de 2007, Mouvement des Électeurs Résolus à Démontrer leur Efficacité anticipait ces résultats : http://merdenfrance.canalblog.com/
 
Regardez les chiffres publiés ce matin même , les plus pessimistes auraient du mal a les croire, pourtant quand on discute avec ses voisins, ça sent le souffre ! Article Complet de l’AFP : http://actu.voila.fr/actualites/politique/2010/01/11/les-deux-tiers-des-francais-n-ont-confiance-ni-en-la-droite-ni-en-la-gauche-pour-gouverner_474345.html
 
Plus des trois quarts des Français (78%) considèrent que "les responsables politiques, en général, se préoccupent peu ou pas du tout de ce que pensent les gens", contre 22% qui estiment que les politiques s’en préoccupent "beaucoup ou assez".
 
Le baromètre souligne un succès de la décentralisation puisque le niveau local échappe à la défiance générale : 69% des personnes interrogées font confiance au conseil municipal, 65% au conseil général et 65% au conseil régional. En revanche ils sont 55% à ne pas faire confiance à l’Union européenne, 64% à l’Assemblée nationale, 65% à l’institution présidentielle, et 68% au gouvernement. De la même manière, 69% font confiance à leur maire, 62% à leur conseiller général, 59% à leur conseiller régional, et 58% à leur député. 51% ne font pas confiance à leurs députés européens, 58% au Premier ministre actuel, et 64% au président de la République.
 
Le référendum sur lequel se sont assis nos députes et sénateurs y est probablement pour quelque chose ? Que doit-on faire ? et surtout comment sortir de cette situation ?
 
 


25 réactions


  • Gourmet 13 janvier 2010 10:26

    Stupéfiant ! Que ce ne soit pas 75% ou davantage.
    Ils l’ont bien cherché non ?
    db


  • Defrance Defrance 13 janvier 2010 11:32

    Voyons, On n’est pas encore tout a fait en Afrique ! Quoi que ?


  • Nanar M Nanar M 13 janvier 2010 13:47

    Que doit-on faire ? et surtout comment sortir de cette situation ?

    Il faut que chacun retrousse ses manches et prenne en main la destinée commune.
    Il faut mettre fin à cette soit disant démocratie représentative, dans laquelle les zélus de carrière ne représent plus qu’eux mêmes et servent l’oligarchie qui mène le monde à la catastrophe.
    Il faut fuir la propagande, éteindre la télé un bonne fois pour toute, réflèchir à la société que nous voulons.
    Cesser de nous conduire comme des moutons, résister, refuser les dictats, gueuler, agir .....


  • plancherDesVaches 13 janvier 2010 15:45

    Yeeeeesss.. salut collègue bac-1.
    Savais-tu pourquoi les « terroristes » ont un tiers de leurs membres ingénieur... ???
    Quoique.. si tu écris cet article, c’est que tu sais.

    Bon, par contre, sortir de la situation, excuses-moi, mais relis tes chiffres et devine pourquoi la mondialisation va se casser la figure.
    Voire plus si affinité, c’est à dire conflit mondial.

    Je te fais une bise sur les deux joues et bonjour chez toi.


    • Defrance Defrance 13 janvier 2010 17:24

      Mes parents et grands parents étaient des terroristes entre 1940 et 1944, personnellement je préfère le terme de résistants !

       Il n’y a pas de terroristes dans les frontières de l ’IIRAK et de l’Afghanistan, en dehors des frontières, ça se discute éventuellement ?


  • nephilim 13 janvier 2010 16:21

    Et bien ca en fait un paquet de retourneur de veste !!!
    bientot sur ago tout les ex-adorateurs de Sarko nous ferons la leçon sur l’affreux personnage qu’il est :)
    heureusement il reste les ecrits .......................................


    • Defrance Defrance 13 janvier 2010 17:27

      C’est pour cette raison que j’ai écrit quelques lignes reprenant les infos de l’AFP qui risquent de passer a la trappe assez vite. Je laisse une trace pour 2012 !


  • Internaute Internaute 13 janvier 2010 18:53

    « 58% des gens feraient confiance à leur député »

    Alors là, c’est franchement alarmant. Si ce chiffre est vrai il n’y a plus d’espoir. Un gros travail d’information reste à faire.

    Si on compte 60% de participation aux élections législative est un résultat toujours serré à 50/50, cela fait 30% des électeurs pour élire un député. Comment monte-t-on de 30% à 58% ? Mystère et boule de gomme.


  • Defrance Defrance 13 janvier 2010 19:12

    Cela s’explique, les députés ne servent plus a rien, ou presque, ils votent bien quand ils dse trompe et on annule et recommence !

    Dernièrement ils étaient une quarantaine pour voter l’attribution du responsable de la mission de contrôle des sondages elyseux ! qui est bien sur revenu a l’UMP

     Il y a la un site interessant que l’on devrait consulter plus souvent :

      Deputes Croupions !


  • Hieronymus Hieronymus 13 janvier 2010 19:48

    Comment les articles passent ils la moderation ?

    voici un nartic hyper rikiki, qui ne signifie a peu pres rien
    ou l’auteur met ou ne met pas de majuscule aux mots dans une anarchie complete
    et en plus se contredit entre le sujet et le contenu (portant tres succint) du texte
    mais comme on tape sur les politiques, c’est bien note, ca chapeau !
    franchement pas serieux...

    PS : j’ecris sans accent car suis a l’etranger avec un clavier QWERTY


    • Defrance Defrance 13 janvier 2010 20:30

      Monsieur Hieronymus ,

       J’ai écrit, juste un peu plus haut que je n’ai fait que reprendre une dépêche de l’ AFP, dont je donne le raccourci UNIQUEMENT pour que cette information soit conservée et commentée . Les chiffres viennent de la SOFRES . Cela dit l’éditeur du site me pose quelques problèmes et je vous accorde les griefs sur la présentation , j’ai un clavier accentué et je met un U à Pourtant !

      Je ne tape JAMAIS sur les hommes politiques étrangers à mon pays, là ou mon bulletin de vote m’autorise la critique, hormis BUSH junior .

       Bonsoir


    • Hieronymus Hieronymus 13 janvier 2010 21:47

      oui, je mets un U a pourtant mais la j’ai ecrit vite, ca m’a echappe, desole


  • Yohan Yohan 13 janvier 2010 23:13

    En fait, il s’agit d’une crise de gouvernance, le maire n’est plus grand chose, le député est un VRP en attaché de case qui n’a rien à vendre, les ministres de caisses enregistreuses, le premier ministre un président intérimaire, le président, un premier ministre qui enregistre les commandes et négocie les prix chez son fournisseur à Bruxelles qui lui même cherche à exister dans le concert mondial


  • ddacoudre ddacoudre 13 janvier 2010 23:19

    bonjour de france

    Dans la vie de tous les jours les Français disent compter sur leur famille et amis pour 82%, sur eux-mêmes 68%, tandis que seulement 2% accordent leur confiance aux partis politiques (enquête CCA, 1999). 

    Dans le même temps les Français attendent de l’État qu’il agisse moins pour l’ensemble de la collectivité, mais qu’il prenne en compte la singularité de chaque citoyen.


    c’est en s’appuyant sur cette étude que notre président c’est fait élire, c’est à partir de cet période que l’information est devenu une information de fait divers où sur chaque sujet l’ex ministre de l’intérieur ou l’actuel président se sont rapprochés des français en se faisant toujours le porte parole de leurs drames individuels.


    il semble donc que les français soient toujours aussi éloignés des grandes questions économiques que par le passé ,cette dimension qui leur échappent car ils n’en sont pas les maitre set commence à comprendre que les élus qu’ils désignent pour cela n’en sont pas plus maitre qu’eux. ils n’ont toujours pas compris que la solution viendra du courage de leur engagement et non dans la foi d’un élite quelconque qui détiendrait la solution.

    pour le moment ils sont les dindon de la farce, mais à part de dire qu’ils n’ont plus confiance dans leur instance centrale ils n’ont pas le courage courage de lutter contre le système qui les asservit.


    comment expliquer que 3 millions de manifestant dans les rue l’anné dernière ne débouche sur rien.


    cordialement.


    • ddacoudre ddacoudre 13 janvier 2010 23:23

      je te copie un article qui est paru le 23 décembre.

      L’honnêteté intellectuelle engage à assumer la responsabilité de ses actes.

      Qui se souvient de ce qu’il pensait il y a dix ans, qui se souvient avoir ainsi fait le lit de notre président.

       Voilà ce que pensaient les français en 1999 dans une enquête CCA. 

      « Dans la vie de tous les jours les Français disent compter sur leur famille et amis pour 82%, sur eux-mêmes 68%, tandis que seulement 2% accordent leur confiance aux partis politiques. 

      Dans le même temps les Français attendent de l’État qu’il agisse moins pour l’ensemble de la collectivité, mais qu’il prenne en compte la singularité de chaque citoyen.


      Pourtant ils attendent de l’Entreprise, considération, restauration de liens sociaux par la convivialité et qu’elle invente des solutions aux problèmes contemporains.

      Une manière comme une autre de dire que les Français attendent tout d’eux même, sauf de leur propre organisation politique (gestion de la cité, du pays) dans laquelle pourtant ils peuvent exercer leur responsabilité de citoyen.

      En toute ignorance ils se prononcent contre le principe démocratique, car la démocratie c’est le parti, ce n’est pas le choix électif de son tyran. 

      Ils ne s’investissent pas dans les structures politiques faites pour leur permettre d’exprimer leurs responsabilités d’acteurs décisionnaires et gestionnaires de la cité et de la nation ; structures dans lesquelles, justement, ils pourraient définir leurs conceptions de la liberté et de l’autonomie et satisfaire leurs attentes.

      Cependant ils attendent tout de ce qui les « aliène », l’Entreprise, dont ils retirent un sentiment d’autonomie par la double capacité de production/consommation qu’elle leur fournit, et à laquelle les prépare essentiellement le système éducatif.

      Ils espèrent que la satisfaction de leurs attentes viendra de la structure productrice qu’est l’Entreprise, dont l’objectif historique affiché, n’est pas de fixer un projet de société, mais d’exploiter au mieux la capacité de travail des individus pour enrichir quelques-uns uns d’entre eux.

      Entreprise, dont ce qui paraît être le caractère social, n’est que la nécessité pour elle de devoir redistribuer par obligation (conflits) une part de la richesse collectée afin de préserver ses propres attentes monopolistiques au travers d’une organisation concurrentielle débridée.

      Cela dans un cadre général ou l’attente des Français évolue vers une société de loisirs et hédoniste permise par le système libéral qui nécessite une réduction du temps de travail et des choix qualitatifs. Tandis que l’Entreprise, pour des raisons concurrentielles, réclame un allongement de ce même temps de travail, et dénie les conséquences positives du succès du système libéral (Locke), et soutenu par une l’idéologie néolibérale elle impose une restriction au travers de la circulation des masses financières dans un marché où elle trouve que les exigences qu’elle a suscitées sont trop élevées (poids des non actifs et des exclus trop lourd, demande de soins exponentiels, tendance écologique).

      Ainsi, curieusement les Français n’ont pas d’espérance dans leurs structures démocratiques qu’ils ressentent comme inadaptées à leurs attentes, alors qu’elles sont le symbole d’une liberté acquise historiquement sur le monachisme, l’impérialisme, le totalitarisme, et ils mettent leurs espoirs dans une structure économique qui est le symbole du pouvoir autoritaire, du fait du prince, que donne le droit de propriété du possédant sur les autres individus.

      Ils délaissent ainsi l’exercice d’un pouvoir démocratique pour confier leur attente à un pouvoir totalitaire

      On peut donc penser que ce paradoxe est la reconnaissance de l’obligation de trouver une forme de Démocratie de l’Entreprise, au sein de laquelle se forge aussi le destin et l’avenir de chacun. Alors que le pouvoir politique (qui est le leur) paraît loin de leurs intérêts quotidiens et n’est pas en mesure de leur fournir un tableau clair et optimiste.

      Depuis lors donc depuis dix ans le pouvoir fort de cette étude, c’est mis à l’œuvre, nous avons vu apparaître le souci de proximité de certains politiques, le souci d’être proche du quotidien des citoyens dans leurs soucis de sécurité. La force publique pour les soucis personnels et l’entreprise pour les soucis de ressources.

      Nous avons donc vu nos acteurs politiques jongler avec ces deux thèmes sécurité et emploi, nous assurer que l’augmentation des sanctions dissoudrait les méfaits et que la gestion de l’état comme une entreprise solutionnerai les problèmes de ressources et d’emplois. 

      Alors dix ans après que pouvons nous penser de nos choix.

       

      Est-ce que vous avez trouvé que l’entreprise s’étaient bien occupé de Nous et qu’elle a bien inventé des solutions aux problèmes contemporains, en réduisant les salaires, les charges sociales (sécu), les délocalisations, la précarité, l’augmentation du chômage, avec une crise financière, avec des salaires de PDG des grands groupes mirobolant pour ne parler que d’eux. 

      Faut-il gérer l’Etat comme une entreprise. 

      Est-ce que Nous trouvons que l’état s’était bien occupé de Nous personnellement, a-t-il bien pris en compte la singularité de chaque citoyen.

      Est-ce que, le pédophile, le criminel, le délinquant, le terroriste, le fou du volant, les drames collectifs ou personnels, les catastrophes naturelles, la vaccination, ont amélioré Notre quotidien, arrondi Nos fins de mois. Nous sentons-Nous plus riche ou le dindon de la farce. 

      A priori compter sur les amis (82%), , et nous-même (68%) n’ont pas suffi, vu le résultat de ces dix ans qui viennent de se terminer sur le triomphe des marchands à Copenhague.

       

      Alors tirerons Nous la leçon de notre médiocrité, continuerons nous à croire aux vertus du mythe de l’individualisme, du narcissisme de l’être, des vertus économiques de l’amitié. 

      Durant tous ces ans nous avons fait fi des partis politiques, même nous les avons galvaudés, nous avons dénigré les syndicats, nous avons dénigré la solidarité au bénéfice de la charité, nous avons rejeté tout ce qui représentait le poids de la vie en collectivité en croyant au leurre de notre président, le Zorro communiquant 

      Alors à qui doit on renvoyer cet échec, au président, aux partis, aux élites, aux syndicats.

      Le résultat d’aujourd’hui n’est il pas le produit de Nos choix de hier. Est-ce honteux de le reconnaître ou est-ce un moyen pour ne pas recommencer.

      Croire que la démocratie est élire un chef d’entreprise à la tête de son pays est une erreur que nous paierons de notre liberté, croire que les dissonances sont un désordre est s’assurer l’ordre d’un tyran.

      Par défiance et ignorance citoyenne nous nous sommes dotés des deux en moins de dix ans.



    • Defrance Defrance 14 janvier 2010 07:25

      Merci pour cette intervention,

       C’est uniquement pour ce genre de « débat » que j’ai écrit, peut etre maladroitement ces quelques lignes, je n’ai Aucune prétention (avec une majuscule, n’en déplaise a certains) mais les infos qui paraissent sur l’AFP disparaissent parfois TRÈS vite, allez savoir pourquoi ?

       Ce que j’en conclus, que je n’ai pas écrit, volontairement, pour ne pas influencer le lecteur et le faire réagir éventuellement à coté du vrai problème :

       Plus le politique est éloigné de la base, plus sa cote baisse ? ex le maire d’un village est globalement, avec des exceptions, bien sur, apprécié des citoyens !
       Idem pour le conseil général (au niveau du canton ) puis régional qui pert petit à petit la cote ?

       Le cas du député est lui entre les deux, il arpente les marchés, s’invite au fêtes et commémorations, promet le beurre, ,l’argent du beurre et la crémière le cas échéant, mais une fois élu, il se sent OBLIGE de respecter les consignes de son parti , qui bien sur sont souvent dictés par le GOUVERNEMENT formés de toutes sortes de pingouins, elus ou pas, a la botte du président, de Bruxelles, Washington ;; ;; ;;Les Français ont du mal a le juger, c’est évident.
       On voit d’ailleurs pointer des mini-rebellions de députés qui votent contre leur camps, en faveur donc de leur sensibilité (ou de la prochaine campagne ) .

       

       Le probleme du President tombe dans le même travers, il ; est élu par le peuple, c’est un fait, mais on oublie qu’il N’EST PAS DÉSIGNÉ par le peuple, mais bien par quelques milliers d’encartés d’un parti ou d’un autre ( moins de 1% du corps électoral) ? . Cela explique d’ailleurs l’abstention ?

       J’en conclus, et cela n’engage QUE moi, que les partis sont incontournables et nécessaires a l’avancement des idées, mais ils exercent une forme de dictature qui neutralise toutes les idées qui ne tombent pas dans leur cadre ?
       
       C’est pour cela qu’en 2007 j ’ai avancé l’idée d’un mouvement regroupant tous ceux qui sont tentés par l’abstention, ou qui comme moi votent a reculons, qui regrouperait et permettrai alors de mesurer vraiment le poids des partis dits traditionnels ? Patrick Sebastien va créer le DARD, en 2007, j’avais imaginé le M.E.R.D.E ? 

       


    • Defrance Defrance 14 janvier 2010 07:37

      Il n’y a pas que des chefs d’entreprises qui se soucient de leurs pays ? Au contraire d’ailleurs par les temps qui courrent ?

       Les premiers responsables sont les partis actuels, verrouillés, fermés de l’intérieur qui depensent x fois plus d’energie en combats interne que pour la défense des citoyens lambda ! Les partis sont des tremplins, rien d’autres et la réception se fait dans la même mare ? (vous voullez des exemples ? )


  • joelim joelim 13 janvier 2010 23:46

    Bon, je propose de donner les clés du pays aux meilleurs élus locaux, aux plus méritants, au lieu de la laisser aux politiques habituels qui ne défendent pas souvent nos intérêts.

    Exigeons d’abord plus de proportionnalité dans les scrutins !! C’est vital car les scrutins majoritaires nous mettent à la merci des groupes d’intérêts.

    • joelim joelim 13 janvier 2010 23:52

      Cet article ouvre un débat intéressant à partir d’une information sourcée.

      Je préfère çà aux discours trop discursifs qui ne valent pas toujours leur temps de lecture.

      (mais je ne l’ai pas voté en modération ^_^)

    • Defrance Defrance 14 janvier 2010 07:30

      C’est une bonne idée, avec un seul problème : l’élu local de Neuilly n’est pas compatible avec l’elu local de St Denis ( et bien d’autres exemples) .

       Personnelement, avec les capacités de dialogue en ligne nous pouvons sélectionner autrement les candidats qui pourraient entrer en lisse e plus de ceux des partis ? ( ca fera hurler au maximum 2% de la base electorale )


  • l'Ami Ricoré l’Ami Ricoré 14 janvier 2010 08:17

    La démocratie représentative est un enfumage car elle crée systématiquement une classe de politiques « professionnels » accrochés jusqu’au sang à leurs privilèges et au service de l’oligarchie.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Oligarchie


  • Serge Serge 14 janvier 2010 16:20

    En effet quelle claque pour« l’homme aux 6 cerveaux », omniprésent dans les médias,intervenant sur tout donc sur rien,nous parlant de « rupture » mais favorisant comme jamais la classe des riches,bref...s’imaginant être un Président dont l’Histoire et les générations à venir se souviendront pendant des siècles et des siècles...et se retrouver le dernier à qui les français font confiance dans l’enquête ( et non un sondage bidonné ! ) du Cevipof !!!

    Cette enquête indique que l’élu à qui les français font le plus confiance est...le Maire !...69%...puis le Conseiller Général...62%...puis le Député ...58%...puis arrive une chute vertigineuse...le premier Ministre actuel...40%...et en bon dernier...le Président actuel...35% !!! ( pas confiance ...64% !!! ) C’est sans appel !!!

    Le résultat de cette enquête m’amène à être en désaccord avec le titre excessif de cet article...car elle montre clairement que tous les politiques en place ne sont pas mis au ban par les français...l’opinion des français sur les politiques en place est beaucoup plus nuancée que ce titre.On est loin du « tous pourris. »


    • Defrance Defrance 14 janvier 2010 18:44

      Vous avez raison, j’ai repris le titre de l’AFP, sans preciser que les politiques « dits de proximité » sont eux encore dans le vert , mais plus on monte dans la hiérarchie, plus l’écart se creuse.

      Un peu plus avant un de nos « confrère » a judicieusement signalé que la mondialisation allait souffrir , a cause de cela . Imaginez que la sofres ai demandé de noter Baroso ?!?§


  • georges 16 janvier 2010 00:32

    oui etonnant que ce soit pas 80% , ca doit etre parce que les francais sont le peuple le plus politisé du monde et ont une certaine mansuetude envers leurs politiciens-bourreaux qui mentent comme des arracheurs de dent .
    et puis ils nous manqueraient , ce sont nos bouffons des temps modernes (merci yann bartes)


  • Defrance Defrance 16 janvier 2010 09:07

    En fait , ce n’est pas que Français, j’ai appris hier que des gens demandaient la destitution de Merkel, et aux USA, la presse est assez muselée pour que ça ne se sache pas trop, mais c’est probablement pire que chez nous, avec pourtant une interdiction « démocratique » du communisme ?


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