Nouriel Roubini, dans un entretien avec TruthOut, disait que si les banques étaient « trop grosses pour tomber », alors elles devenaient aussi « trop
grosses pour être sauvées, trop grosses pour être renflouées et trop
grosses pour être gérées. Aucun directeur ne peut suivre en détail les
pertes et profits et les performances de milliers de banquiers et
traders différents. C’est une dimension du problème. (…) Ainsi, on doit
réimposer le type de restrictions qui existaient entre banque de détail
et banques d’affaires sous la loi Glass-Steagall. » Source