barbapapa barbapapa 14 septembre 2011 18:25

La génération antérieure ayant connu la guerre avait l’idée de sacrifice, en vue d’un futur meilleur pour ces enfants. 68 a instauré la philosophie d’abandon du long terme pour la jouissance au présent, le bonheur sans attendre.

Une moralité douteuse poussée par des égoïstes des belles écoles déformé au trosquisme et fondateur d’un jacobinisme absolu.

Une génération qui se justifie de ses manquements vis-à-vis de ses enfants en les mettant en dépendance financière ou morale. Une sale génération. Une génération qui accepte la compromission de l’instant sans envisager le futur du moment que c’est pas le sien.

Pour ma part je suis rentré dans la vie active en 79. Je n’ai connu que la crise et les abus de cette génération. 


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