Sans compter l’admiration de Keynes pour le système économique de l’Allemagne nazie (correspondance avec les membres du gouvernement hitlérien) et ce, surtout par anti communisme.
Mais on ne peut s’arrêter à cela pour démonter les argumentations des néo keynésiens. Voir le bouquin de Paul Mattick, « Marx et Keynes », réédité l’année dernière chez Gallimard.