"D’un côté, les marchés financiers, pour être « rassurés », exigent l’austérité pour que toutes les sources de revenus des pays leur soient versées au travers du remboursement des dettes ; mais d’un autre côté, l’austérité empêche la croissance
qui seule peut générer les recettes fiscales permettant de rembourser
les dettes… Les plans européens continuent à fabriquer des surendettés
futurs pour « sauver » les surendettés présents. »
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