Aldous Aldous 29 septembre 2011 13:18

Article intéressant Olivier.

La survenue de plus en plus fréquente de désastres d’ampleur inhabituelle depuis les années 1990 est un facteur qu’il ne faut pas négliger.

Les séismes, les éruptions volcaniques, les tempêtes, les ouragans, la sécheresse et les inondations se sont multipliées de façon scientifiquement démontrée.

Tous cela coïncide avec les développement depuis les années 1960 d’armes climatiques, dont le danger a poussé à l’adoption de la charte ENMOD en 1977.

C’est ce que j’expliquais dans mon article : la terre en otage

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/armes-climatiques-la-terre-en-95009

L’utilisation de telles armes est decelable par leurs effets collatéraux, en général des morts massive d’animaux piégés au mauvais endroit au mauvais moment. Or ces cas se multiplient (même si le figaro tente de nous expliquer que non : http://www.lefigaro.fr/environnement/2011/01/07/01029-20110107ARTFIG00627-les-hecatombes-animales-en-serie-pas-si-mysterieuses.php )

Le effondrement de cavités souterraines s’expliquent par deux effets tangenciels :

1) Le creusement de réseaux d’abris souterrains qui est devenu un sport national aux USA, en Russie et en Chine.

2) Les effets de déstabilisation des couches géologiques de certaines armes à fréquence pulsée, qui agissent comme les vibreurs utilisés pour tasser le béton dans la construction.

Le troisième indice d’une guerre furtive avec des armes climatique est l’effort de guerre.

L’économie de guerre est une économie de déficit public abyssal.

Toute ressemblance avec des faits contemporains seraient fortuits.

Ou pas.


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