« nombre de ces crimes sont précisément commis par des gens »normaux"
bien
insérés dans la société voisins serviables et notables respectés .«
»enfermer ces questions dans la boite de la maladie ou de la monstruosité
nous condamne a ne jamais les résoudre ."
Entièrement d’accord
avec vous là dessus !
Merci d’avoir développé un peu cette idée.
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Juste pour être sûre d’être lue dans le bon sens, car votre « s’il vous plait » final me fait
douter, j’ai bien écrit :
"la réalité de ces violences telle qu’elle est : un phénomène de
société alimenté par nos valeurs collectives — ou plutôt notre absence
de valeurs, autres que mercantiles et dominatrices —, et non un ensemble
de crimes et délits isolés, perpétrés par une frange irréductible de la
population composée de malade mentaux, marginaux ou monstres."