Merci pour ces informations complémentaires.
Une fois que les décisions du Conseil de l’Europe ont été connues, il apparaissait clair qu’elles n’apportaient aucune amélioration à la situation, mais la cristallisait dans le sens de la dégringolade.
Les financiers sont dans le double bind (terme psychologique qui définit une injonction parentale contradictoire exigeant une chose et son contraire) en demandant de l’austérité et de la croissance. Les libéraux de l’Europe, qui prennent les décisions, sont enserrés dans un message fou. Mais ils refusent d’évoluer quant à leurs croyances de base et de devenir les artisans de la perte de leurs privilèges pour sauver les Etats.
Quand les financiers évoquent une « insécurité » quant au remboursement des prêts, que disent-ils en réalité ? Ont-ils intérêt financièrement à ce que la situation s’arrange ?