eric 2 novembre 2011 12:44

Pas que du faux ! Il faut dire à la décharge de notre Président qu’il a cru à la parole et à la signature d’un grand leader progressiste socialiste, qui s’était engagé sur un plan longuement négocié démocratiquement mandaté pour cela par son peuple

Première conclusion, se méfier des promesses des grands leaders progressistes.

Une bonne nouvelle, ils ne sont peut être pas tous comme cela. Déjà 6 membres du conseil national du Pasok demandent la démission de Papaandréou, au motif qu’il sacrifie le pays dans le seul but de se maintenir au pouvoir. Une député a quitté le groupe.

Une autre bonne nouvelle : après avoir récemment profité des finances florissantes de son pays pour acheter des armes, il vient de limoger tous les officiers dirigeant l’armée grecque. Je ne connais pas les noms et qualités des nouveaux nommé, mais les dirigeant socialisant quand ils sont confrontés aux résultats de leurs décision économiques ont en souvent l’ habitude de choisir des généraux réputés pour leur républicanisme, leur respect de la constitution et leur loyalisme. Au moins deux précédent illustres PInochet et Franco.

Comme le référendum ne saurait constitutionnellement porter sur les questions fiscales, incluent dans l’accord européen, il va y avoir une période vivement intéressante si Papaandréou veut violer la constitution....

La mauvaise nouvelle, c’est que les grecs ne semblent pas déterminés à nous faire participer à ce grand référendum démocratique dont l’enjeu est de savoir si nous allons continuer à payer pour eux.

On comprend assez bien pourquoi toutes ces perspectives réjouissent l’auteur et nombre de commentateurs.

La dernière bonne nouvelle et conclusion, c’est qu’avec les programmes des gauches, on avait que la certitude qu’ils avaient les mêmes ambitions que le Pasok, avec les pratiques de Papandréou, on a aussi une idée assez précise de ce vers quoi cela pourrait nous mener. Avec les prises de position de hollande et autres candidats marginaux de gauche, on sait qu’ils approuvent tous cela.

Les présidentielles de 2012 risquent de se transformer en plébiscite de Sarko. Comme quoi, nous aurons aussi notre référendum....


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