En ce qui concerne l’Argentine, je suis tout à fait d’accord, comme écrit dans un de mes billets sur mon blog http://dreamsandmoods.blogspot.com/2011/10/gestion-de-crise-lexemple-argentin.html
Pour ce qui est de l’Euro, je pense surtout qu’à force d’imposer une politique de rigueur et de destruction sociale, un jour, certaines nations décideront d’en sortir. J’aurais bien aimé que les Grecs eussent ouvert la porte, mais ce n’est que partie remise.