Bravo pour l’article.J’ai particulièrement aimé ceci.
Qui ignore que pour être maître de conférence puis professeur
d’université, il faut surtout être un docile répétiteur de la « doxa »,
cette opinion et ce savoir communément admis par ses pairs qui vous ont
recruté. Toute hétérodoxie écarte l’impétrant. C’est ainsi que les
erreurs professées par le milieu universitaire sont des vérités que nul
ne saurait contester sous peine de bannissement. C’est cette
consanguinité qui fabrique le savoir scolastique stérile.