Voulez vous dire que quand un pays choisit le dictature religieuse ou prolétarienne, on a pas le droit de critique et ni le droit de lui dire qu’il fait fausse route ? Bon, c’est un point de vu que j’ai du mal à partager. Avec une telle attitude les dictateurs et les massacreurs de liberté ont encore de beaux jours devant eux !