Il est plus qu’évident qu’elle et sa fille ont été instrumentalisées pour enfoncer DSK.

Avec la nouvelle vidéo sortie par le NouvelObs, il parait clair que DSK était attendu au Sofitel par un discret comité d’accueil. Le seul problème c’est que personne à l’hôtel n’était censé savoir l’heure de son arrivée. A part ça, l’avocat de N. Diallo a dit que c’était suspect qu’un VIP en partant prend le yellowcab et non pas une limousine, qu’il traine lui-même ses bagages sans faire l’appel au bagagiste, comme quoi il était pressé de partir et incognito, en plus. On voit bien qu’il était pourtant arrivé avec le yellow cab et qu’il s’occupe lui-même de ses bagages, aussi.
Brian Yearwood, que l’on voit sur la vidéo a l’air de lui coller discretement aux basques. Et le lendemain, de nouveau Yearwood, qui rentre dans la suite 2806 un instant avant que le fameux blackberry soit désactivé. C’est lui qui a téléphoné à la police , quand N. Diallo décrivait « l’agression » faisant des grand gestes avec ses mains, malgré la soi-disant blessure à l’épaule. Et c’est encore lui qui fait la danse de joie ensuite. Yearwood, interdit de métier de sécurité parce qu’il a provoqué, quelques années auparavant, un accident en état d’ivresse, avec quatre personnes blessées, fut embauché par Accor en tant que directeur technique du Sofitel.
Et comme par hasard, une fois DSK arrêté, la mère Mansouret et sa fille se mettent à déballer, au point que le procureur newyorkais recoit un coup de fil de France, faisant illusion à cette affaire. On se demande quelle langue de p*te est allé l’enfoncer ainsi, mais on commence à avoir une petite idée après cet entretien.