suumcuique suumcuique 5 janvier 2012 19:41

Les Chinois, aussi diablement rusés que peu intelligents, sont tellement peu intelligents et tellement rusés que, en vacances à Paris, à Rome et à Madrid, ils achètent des souvenirs « made in China », dix fois plus chers que chez eux. 


L’Asiatique Karl Mardochai, dit Marx, affirmait que l’économie était devenu un destin et, pour les Asiatiques, il est certain que l’économie est un destin. L’importance tératologique qu’a prise l’économie en Europe depuis la révolution dite française ne fait que refléter une asiatisation des esprits.

" La race jaune se présente comme l’antithèse de [la race noire]. Le crâne, au lieu d’être rejeté en arrière, se porte précisément en avant. Le front, large, osseux, souvent saillant, développé en hauteur, plombe sur un faciès triangulaire, où le nez et le menton ne montrent aucune des saillies grossières et rudes qui font remarquer le nègre. Une tendance générale à l’obésité n’est pas là un trait tout à fait spécial, pourtant il se rencontre plus fréquemment chez les tribus jaunes que dans les autres variétés. Peu de vigueur physique, des dispositions à l’apathie. Au moral, aucun de ces excès étranges, si communs chez les Mélaniens. Des désirs faibles, une volonté plutôt obstinée qu’extrême, un goût perpétuel mais tranquille pour les jouissances matérielles ; avec une rare gloutonnerie, plus de choix que les nègres dans les mets destinés à la satisfaire. En toutes choses, tendances à la médiocrité ; compréhension assez facile de ce qui n’est ni trop élevé ni trop profond ; amour de l’utile, respect de la règle, conscience des avantages d’une certaine dose de liberté. Les jaunes sont des gens pratiques dans le sens étroit du mot. Ils ne rêvent pas, ne goûtent pas les théories, inventent peu, mais sont capables d’apprécier et d’adopter ce qui sert. Leurs désirs se bornent à vivre le plus doucement et le plus commodément possible. On voit qu’ils sont supérieurs aux nègres. C’est une populace et une petite bourgeoisie que tout civilisateur désirerait choisir pour base de sa société  : ce n’est cependant pas de quoi créer cette société ni lui donner du nerf, de la beauté et de l’action. "

A. de Gobineau,
Essai sur l’inégalité des races humaines

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