C’est gentil de le signaler !
Concernant l’état kémaliste d’avant l’AKP, ma religion n’est pas faite. Je ne sais pas s’il eût été possible de faire de la Turquie un pays dynamique, à forte croissance, aux excellentes infrastructures, notamment dans l’éducation, sans l’autoritarisme laïc des successeurs d’Atatürk.
de plus, cet état est né d’une situation catastrophique, où il fallait libérer le territoire, rétablir la fierté nationale, accomplir une oeuvre de modernisation comparable à celle de l’ère Méiji au Japon. C’est ce qu’a tenté de faire la dynastie Pahlevi en Iran, mais Réza Shah n’avait pas la force visionnaire de Mustapha Kémal.