Raymond SAMUEL paconform 9 février 2012 21:58

Bonsoir SABINE, ANNIE et ISGA,

Merci de participer.
Récemment, M.Rosenczweig, le juge des enfants de Bobigny disait sur France 5 que dans vingt ou trente ans sur ce sujet on regardera notre époque comme aujourd’hui nous regardons le néolithique !
Espérons que l’avenir lui donnera raison. Nous avançons, au moins en apparence, mais si lentement que vingt ou trente ans ne semblent pas du tout suffisants

Oui Sabine, mon article ne fait que présenter, effleurer même, le sujet. Celui-ci se subdivise en diverses branches qu’il faudrait développer suffisamment séparément. C’est indipensable. On n’avancera pas si on ne traite pas le sujet avec assez de vigueur et de constance. C’est le but de mon appel en fin d’article.
Personnellement, je pense que le problème de la santé psychique des adultes se posera aussi longtemps qu’une génération (aujourd’hui en partie malade) n’aura pas réussi à élever une génération d’enfants en bonne santé psychique (et physique par répercution).
 Dans l’état actuel des choses, c’est impossible.
Ainsi, la première chose à faire c’est de faire reculer l’ignorance. Informer donc.

Pour que les mentalités évoluent il faut d’abord que la connaissance progresse et ne puisse pas être contestée. Nous avons donc besoin d’études scientifiques en provenance de chercheurs INDEPENDANTS, non inféodés au Pouvoir ni influencés par des idéologies. Ces chercheurs existent.
 Des études (peu difusées) prouvent par exemple, que les jeunes délinquants ont perdu (ou n’ont pas acquis) la faculté à avoir de l’empathie. Cette étude permet d’expliquer notamment le comportement des enfants harcelleurs dans les cours d’école (ils sont indifférents aux souffrances qu’ils infligent). A partir de là on peut remonter aux causes, et, espérons-le, agir sur ces causes.


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