En fait, Verlaine avait retracé l’épopée de JPC il y a bien longtemps déjà.
Mais pour préserver son anonymat, il l’avait caché sous le pseudo (son avatar, quoi !) de Gaspard...
(Par ailleurs, vous avez raison, on ne dira jamais assez la solitude de la selle de velib dans les côtes du Sacré Coeur ! )