En Allemagne,
un emploi sur trois n’est ni à temps plein, ni à durée indéterminée, un
sur dix est un mini-job de moins de 400 €, qui n’ouvre pas droit aux
cotisations sociales. On observe dès lors au cours de ces dernières
années une explosion des emplois « atypiques » (CDD, intérim, temps
partiel, particulièrement pour les femmes) qui ont progressé de près de
130 % entre 1998 et 2008. Au total, 2.5 millions de salariés travaillent
pour moins de 5 € de l’heure dans un pays où le salaire minimum
n’existe pas....
http://2ccr.unblog.fr/2012/02/04/sarkozy-et-le-modele-allemand/