Raymond SAMUEL paconform 14 février 2012 19:19

- « Dès que vous conviendrez que, contrairement à ce que vous avez dit jusqu’ici ( ! ?) il est possible de ne pas être pour le 100 % Montessori sans être pour autant prosélyte de la maltraitance. »

 J’en conviens sans aucune réticence. Parce que je n’ai pas dit ça. Je vous rappelle que vous dénigrez clairement les méthodes éducatives douces en citant Montessori, ainsi que l’éducation de 7 milliards d’individus « dans du pur coton ». Vous conviendriez que cela oriente vers une recommandation à une éducatiçon « à la dure », alors que la maltraitance sévit partout et est responsable de deux morts d’enfants par jour en France.

Pour le reste je suis d’accord avec vous, je suis très loin d’être 100 % Montessori ni d’autres choses qui soient prédéfinies. J’ai évité à mon dernier enfant les nuisances de ces éducations prêtes à imposer (la crèche, la maternelle, l’école. Nous nous sommes attachés à le faire vivre dans un milieu NORMAL, avec des adultes qui « font », plutôt qu’avec ceux qui enseignent (sur programme national distribué à 30 enfants baptisés « élèves » et immobilisés pour la circonstance. J’en passe et des meilleures.
Ce n’est pas être taliban que faire part de mes observations et de mon expérience.

- « j’aimerais que vous me désigniez nommément quels sont ceux dont vous avez parlé plus haut qui seraient susceptibles de m’acuser de maltraitance parce que je ne suis pas pour l’intégrisme Montessoriste. »

Ne seriez-vous pas un peu parano sur les bords (et même au milieu)  ?

Je n’ai pas dit que quelqu’un allait vous accuser de maltraitance ! ! Encore une fois, j’ai dit que, DANS l’AMBIANCE EDUCATIVE ACTUELLE (sous entendu franchement répréssive) les autres, c’est à dire soixante millions de personnes RISQUAIENT de trouver dans votre orientation une justification ou un encouragement à la maltraitance. C’était une remarque que je croyais pouvoir faire et que je devais faire (je ne vous ai pas traité de taliban, moi).

Voulez-vous relire ?

- « Et vous me combleriez... »

Soyez comblé, je n’ai jamais traité les parents d’empoisonneurs. A peine les fabriquants qui privillégient la présentation commerciale et le faible coût de leurs appros plutôt que l’absence de risque sanitaire de leurs productions alimentaires (et chimiques). Vous êtes au courant j’espère ?

Bonne soirée.
Oserais-je risquer un conseil ? - Détendez-vous.


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