Aldous Aldous 23 février 2012 09:33

En Grèce la stratégie mondialiste est désormais connue d’une grande part de la population, en grande partie grâce à Internet, mais il faut dire que les médias mainstream ne sont pas aussi muselés qu’en France.


Il faut dire aussi que les gens cherchent à comprendre comment on les a mit dans cette situation, se mobilisent, discutent beaucoup.

Ce qu’ils ne savaient pas c’est a quel point leurs représentants sont vendus.

Il est parfaitement clair désormais que les voies d’expression légales de la volonté populaire sont complètement confisquées pas l’élite.

Les élections ne changeront rien, tous les partis s’étant soumis au diktat de la troïka.

Il n’y aura pas de référendum.

Il reste la rue.

En France les gens continuent de s’imaginer qu’il s’agit d’un problème grec, que nous ne sommes pas concernés, que nous choisissons encore notre destin en votant pour blanc-bonnet aux élections.

Il faudra toucher le fond pour rebondir.

Mais pour rebondir, il faut que la situation réelle soit dite, et c’est à cela je cet article participe.

Il y a seulement six mois, un tel article aurait été couvert d’injures du type, complotiste, soucoupiste...

Aujourd’hui, de nombreux politiques ont fait leur come-out mondialiste. Il est impossible désormais de moquer ceux qui dénoncent ce coup d’état.

Désormais, l’agenda mondialiste ne pourra plus compter sur la tromperie pour avancer.

Fini les référendums ouiouistes.
Fini le baratin sur la lutte contre le déficit démocratique.

Les mondialistes devront désormais assumer leur projet autoritaire et se faire insulter sans moufter par des Farage qui leur assènent leur forfaiture et leur fait ravaler leurs protestations de démocratie.

La donne change.

Le roi n’est pas encore nu mais au moins on sait qui est le roi, et ce n’est pas Sarko.






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