Aleth Aleth 6 mars 2012 18:58

Et il reste aussi à expliquer l’ineptie figurant au sein du Rapport de la Commission stipulant que des communications ont été passées depuis des téléphones portables à bord des avions notamment à 7.500 et 12.000 mètres d’altitude. Ces communications représentant les seuls éléments ayant permis de conclure le détournement des avions par des ’terroristes islamistes armées de cutters. Or en septembre 2001 il était impossible de passer des appels/messages depuis des téléphones portables dans un avion commercial aux altitudes indiquées dans le ’rapport officiel’... la technologie n’a pas été mise en oeuvre avant 2004 !

http://www.lepoint.fr/actualites-technologie-internet/2008-04-10/telephones-mobiles-en-avion-les-secrets-d-une-revolution/1387/0/237248

Par conséquent à partir de là ces informations présentes dans le rapport officiel ne sont que purs mensonges (parmi d’autres). En voici encore un qui figure dans le rapport officiel (la liste est longue)...

Le récit d’Olson contredit par le FBI

La contradiction officielle la plus sérieuse de l’histoire de Ted Olson est venue en 2006 au procès de Zacarias Moussaoui, le prétendu 20ème pirate de l’air. Les preuves présentées à ce procès par le FBI incluaient un rapport sur les appels téléphoniques des quatre vols du 11 Septembre. Dans son rapport sur le Vol 77 américain, le rapport du FBI a attribué seulement 1 appel à Barbara Olson et c’était "un appel non abouti,« qui a donc duré : »0 secondes."(9) Selon le FBI, donc, Ted Olson n’a pas reçu un seul appel de sa femme, que ce soit d’un téléphone portable ou d’un téléphone de bord.

En revenant au 11 septembre 2001, le FBI lui-même avait interrogé Olson. Un compte-rendu de cet entretien indique qu’Olson a déclaré aux agents du FBI que sa femme l’avait appelé deux fois du Vol 77.(10) Et pourtant le FBI, qui a présenté en 2006 un rapport sur les appels du Vol 77, a indiqué qu’aucun de ces appels n’a abouti.

C’était un développement étonnant : le FBI fait partie du Ministère de la Justice et, pourtant, son rapport a sapé les déclarations publiques de l’ancien avocat général du Ministère de la Justice affirmant qu’il avait reçu deux appels de sa femme le 11 Septembre.

http://www.reopen911.info/News/2008/05/13/le-temoignage-dolson-sur-les-appels-telephoniques-de-barbara-olson-le-11-septembre-trois-dementis-officiels/

Le scientifique canadien et mathématicien réputé A. K. Dewdney, qui a longtemps tenu une rubrique dans Scientific American, a fait le rapport début 2003 d’expériences montrant que ces difficultés auraient rendu impossibles la plupart des appels signalés avec les téléphones portables dans les avions de ligne du 11-Septembre. Ses expériences concernaient à la fois les avions monomoteur et bimoteurs. Dewdney a constaté que dans un avion monomoteur, un appel n’avait une chance d’aboutir qu’en dessous de 2000 pieds (600m). Au delà, les connections étaient très improbables. À 20.000 pieds (6000m), "la probabilité qu’un appel de téléphone portable parvienne au sol et se connecte à une station de base est de moins de un pour cent… La probabilité pour que deux personnes parviennent à s’appeler est de moins de un pour dix mille." Dewdney ajoutait qu’une probabilité de 13 appels réussis était « infinitésimale ». Dans des expériences ultérieures avec un avion bimoteur offrant une plus grande masse et donc une plus grande isolation des signaux électroniques, Dewdney a constaté que le taux de réussite tombait à 0 pour cent à 7000 pieds (2100m).

Un avion plus gros, ayant une bien plus grande masse, aurait eu une isolation encore beaucoup plus importante – un fait, ajouta Dewdney, qui "s’accorde avec de nombreuses anecdotes rapportant … que dans de gros avions de ligne, on perd le contact durant le décollage, souvent avant que l’avion n’atteigne les 1000 pieds (300m) d’altitude." C’est pourquoi Dewdney a conclu que de nombreux appels réussis à partir de portables dans des avions volant à plus de 30.000 pieds (10000m) auraient été « carrément impossibles. » Ces appels ne deviendraient possibles que des années plus tard. En 2004, Qualcomm annonça l’expérience réussie d’une technologie fondamentalement nouvelle du téléphone portable, mettant en œuvre une « pico-cellule » (NdT : cellule terrestre reconstituée localement à bord de l’avion) qui permettrait aux passagers "de passer et de recevoir des appels comme s’ils étaient à terre."

http://www.reopen911.info/News/2010/10/29/les-appels-telephoniques-dans-les-avions-revus-et-corriges-par-d-r-griffin-12/

Voilà je souhaiterais que Quirant et ses clones (sans pirouettes svp) expliquent comment tous ces (soi-disant) appels ont été passés depuis des avions commerciaux aux altitudes indiquées dans le rapport officiel alors que c’était IMPOSSIBLE en septembre 2001.

En bonus :

Le compte-rendu officiel du 11 Septembre : « terriblement défectueux », « bourré de contradictions », « une plaisanterie », « une façade »

Plus de 40 citoyens américains ayant travaillé pour différents services de Renseignement et de Contre-terrorisme ont sévèrement critiqué le compte-rendu officiel du 11 Septembre ; la plupart d’entre eux demandent une nouvelle enquête. Il est scandaleux que la majorité des Américains [NdT : des Occidentaux, y compris nos concitoyens français] soient maintenus dans l‟ignorance totale de leurs déclarations publiques, conséquence immédiate du refus des organismes de la presse nationale [NdT : et internationale] comme des médias de masse de traiter cette question d‟une extrême importance. La crédibilité de ces personnes et leur loyauté envers leur pays ne peuvent être mises en doute, ce que démontre les années de service passées à collecter et analyser l’information, à planifier, et à effectuer des opérations cruciales pour la sécurité nationale des États-Unis.

Ces 41 personnes ont travaillé pour le Département d’État américain, l’Agence de la sécurité nationale (NSA), l’Agence centrale de Renseignement (CIA), le Bureau fédéral d’investigation (FBI), l’Administration fédérale de l’Aviation (FAA), Le Bureau des douanes et de la protection des frontières ainsi que pour diverses sections de l’armée des États-Unis. Ils sont présentés ci-dessous en fonction du service pour lequel ils ont travaillé.

http://www.reopen911.info/11-septembre/plus-de-40-mr-x-remettent-en-cause-la-version-officielle-des-attentats-de-2001/

Document pdf avec les témoignages en question... http://www.scribd.com/doc/15615616/41-anciens-du-Contreterrorisme-et-des-Renseignement-remettent-en-cause-le-rapport-officiel-sur-le-11-Septembre

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L’avocat-conseil de la Commission sur le 11 Septembre – John Farmer – déclare que le gouvernement a accepté de ne pas dire la vérité sur le 11/9, faisant écho aux affirmations des autres membres de cette même commission, qui ont conclu que le Pentagone était impliqué dans une tromperie délibérée concernant leur réponse aux attaques. […] Il dévoile comment "le public a été sérieusement trompé concernant ce qui s’était produit le matin des attaques« , et Farmer lui-même déclare que »à certains niveaux du gouvernement, à un certain moment… il y avait un accord pour ne pas dire la vérité sur ce qui s’est passé." Seuls les plus naïfs discuteraient du fait qu’un accord pour ne pas dire la vérité est un accord pour mentir. La position de Farmer est que le gouvernement a accepté de créer une version officielle mensongère sur les événements afin de dissimuler la véritable histoire derrière le 11 Septembre. […]

En août 2006, le Washington Post signala que "quelques membres de l’équipe de la Commission sur le 11 Septembre ont conclu que la première histoire décrivant la façon dont le Pentagone avait réagi aux attaques terroristes pourrait faire partie d’un effort délibéré pour induire en erreur la commission et la population, plutôt que le reflet du "nuage d’événements" de ce jour-là, selon les sources impliquées dans le débat." Le rapport révéla comment la commission constituée de 10 membres suspectait fortement une dissimulation, à tel point qu’ils envisageaient de signaler le problème au Département de la Justice pour solliciter une enquête criminelle. "Nous n’avons à ce jour aucune idée de la raison pour laquelle le NORAD nous a dit ce qu’il nous a dit", a déclaré Thomas H. Kean, l’ancien gouverneur républicain du New Jersey, qui dirigeait la commission. "C’était si loin de la vérité… c’est une de ces absurdités qui n’a jamais été résolue." Farmer lui-même est cité dans l’article du Washington Post, déclarant : "J’étais choqué de constater à quel point la vérité était différente de la façon dont elle était décrite… les cassettes du NORAD racontaient une histoire radicalement différente de ce qui nous avait été expliqué, et au public également, pendant deux ans… Ce n’est pas la vérité."

http://www.reopen911.info/News/2009/04/17/un-avocat-de-la-commission-sur-le-11-septembre-le-gouvernement-a-accepte-de-mentir/

http://www.time.com/time/nation/article/0,8599,1921659,00.html

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Témoignage de Lee Hamilton, vice-président de la Commission, à propos des obstacles dressés pour faire échouer l’enquête… http://www.dailymotion.com/video/xcyg70

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Le sénateur Mark Dayton à propos des mensonges dans le rapport officiel... http://www.dailymotion.com/video/x2msea

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Ainsi, toutes les déclarations que le rapport final attribue à ces détenus sont exclusivement des informations de troisième main transmises à la Commission par la CIA. Comme le reconnaissent Kean et Hamilton, la Commission n’avait « aucun moyen de vérifier la fiabilité des informations [...] fournies ». Or, c’est sur la base des aveux de Khaled Sheikh Mohammed et des autres détenus - « les seules sources disponibles sur le complot » que la Commission a pu établir un lien entre al-Qaida, Ben Laden et les attentats du 11 Septembre. La fiabilité des aveux rapportés est d’autant plus sujette à caution que les détenus clés, dont Khaled Sheikh Mohammed, avaient été soumis à la torture du « waterboarding » lors de leurs interrogatoires par la CIA. Michael Hayden, directeur de la CIA, l’a admis devant la Commission du renseignement du Sénat américain le 5 février 2008. puis un mémo rendu public par le Département de la Justice en avril 2009 révèla que Khaled Sheikh Mohammed fut torturé à 183 reprises en mars 2003. Ces révélations inspirèrent au journaliste du New Yortk Times Philip Shenon le commentaire suivant : « Tout ceci jette un voile sur la crédibilité du rapport final de la Commission. Dans les cercles du renseignement, on n’accorde que peu de crédit aux témoignages recueillis sous la torture. Les études démontrent que les gens diront n’importe quoi si on les menace d’une douleur physique intense »[…] (restrictions d’accès à certains documents cruciaux) Ces obstructions répétées conduisirent à la démission de l’un des membres de la Commission, le Sénateur Max Cleland. Dans une série d’interviews, celui-ci avait alors qualifié l’enquête de « scandale national » et accusé la Maison Blanche de vouloir masquer les faits. [...] Pas un seul haut-responsable n’a d’ailleurs été sanctionné ou démis de ses fonctions pour les incompétences grossières dont nous avons été témoins ce jour-là. Bien au contraire, les stupéfiantes défaillances de la défense aérienne ont été « sanctionnées » ... par des promotions.

http://www.reopen911.info/11-septembre/le-gouvernement-bush-s-est-oppose-a-ce-qu-une-enquete-ait-lieu-sur-les-attentats-du-11-septembre/

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Ayant couvert les travaux de la commission du début à la fin, puis écrit une histoire de l’enquête, je me demande si le congrès saisit l’ironie qu’il y aurait à mettre en place une "commission du 11 septembre" bis pour traiter de cette question. D’anciens enquêteurs de la commission ont admis devant moi l’an dernier que le comité fut, sur la question de la torture, particulièrement myope. Tout au long des années 2003 et 2004, la commission semble avoir ignoré de sérieux indices suggérant que la reconstitution du complot et l’historique d’Al Qaeda reposaient en très large part sur des renseignements obtenus par la torture, ou des techniques qui en sont proches.

Le comité n’a pas émis de protestation publique au sujet des méthodes d’interrogatoire de la CIA, en dépit d’informations parues dans la presse de l’époque et attestant de la brutalité de ces méthodes. Mieux, afin d’obtenir des réponses à ses questions, la commission a requis en 2004 de la CIA une nouvelle tournée d’interrogatoires. Tout ceci jette un voile sur la crédibilité du rapport final de la commission. Dans les cercles du renseignement, on n’accorde que peu de crédit aux témoignages recueillis sous la torture. Les études démontrent que les gens diront n’importe quoi si on les menace d’une douleur physique intense. Et pourtant, il est très possible que les suspects membres d’Al Qaeda, seules sources d’information pour de longs passages du rapport de la commission, aient été soumis à des techniques d’interrogatoire « améliorées », ou menacés de leur emploi, du fait même de la commission pour le 11-septembre. Bien que la CIA affirme qu’elle a mis fin à l’utilisation du « waterboarding » (ou simulacre de noyade) dès le début de 2003, l’agence a continué de faire usage de méthodes « améliorées », utilisant la douleur, la privation de sommeil et l’isolation sur de longues périodes — qui ont toutes été qualifiées de torture. La CIA maintient que les méthodes utilisées étaient légales et approuvées par la Maison Blanche. [...]

L’ancien sénateur Bob Kerrey du Nebraska, un démocrate ayant siégé dans la commission, m’avait soufflé l’an dernier avoir longtemps craint que l’enquête ne repose en trop grande partie sur des déclarations faites sous la contrainte de prisonniers d’Al Qaeda [...] il y avait selon lui "des raisons de penser qu’on s’est trompé sur certains détails" concernant le complot du 11 septembre et Al Qaeda.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20090316.OBS9073/dans-newsweek-la-commission-du-11-septembre-et-la-torture.html

Donc pour résumer... 41 anciens agents du renseignement et assimilés… John Farmer, l’avocat-conseil de la Commission d’enquête… Thomas Kean, ancien gouverneur et président de la Commission d’enquête... Lee Hamilton, vice-président de la Commission d’enquête… Max Cleland, sénateur et membre de la Commission d’enquête (qui a préféré démissionner)… Bob Kerrey, sénateur et membre de la Commission d’enquête… Mark Dayton, sénateur... (sans parler des milliers d’architectes, ingénieurs, pilotes, militaires, pompiers, familles des victimes, ...) ont finalement émis de sérieux doutes quant à la crédibilité du rapport officiel (ou la VO) ou ont déclaré qu’il ne décrit pas la vérité à propos des attentats du 11 septembre 2001... qu’il y a une multitude d’incohérences et de mensonges… des contradictions/dissimulations de la part du NORAD ou de la CIA... qu’il y a eu de nombreuses obstructions à l’enquête de la part de l’administration Bush (qui a tout fait au préalable pour que l’enquête ne voie pas le jour...).

Mais il y en a toujours pour continuer à prétendre que la version officielle tient parfaitement la route !!!


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