Annie 14 mars 2012 23:27

C’est tout à fait vrai. J’ai eu la même réaction que vous, surtout en pensant aux marchands d’armes qui ont toujours la même réaction : si nous le faisons pas, quelqu’un d’autre le ferait à notre place. Mais la réalité est que ces politiques gouvernementales ne pourraient pas être mises en œuvre sans la complicité de sociétés comme Atos. Sociétés que n’intéressent que le profit, mais il est possible de commercer éthiquement. En fait votre argument est exactement celui d’Atos qui n’a qu’un statut consultatif, et peut rejeter la responsabilité sur le ministère compétent, mais le fait est qu’Atos est le seul prestataire de conseils spécialisés, qu’il est difficile de questionner lorsqu’on n’a aucune compétence médicale. 2% seulement des évaluations d’Atos ont été questionnées par les centres d’emploi qui sont chargés de supprimer ou de maintenir les allocations handicapé.


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