Entièrement d’accord avec vous, le travail sur l’environnement passe avant tout par une redécouverte du partage, et par l’action locale.
Le mouvement des colibris (http://www.colibris-lemouvement.org/) me semble, en ce sens, particulièrement intéressant, notamment par la force de son fondateur, Pierre Rabhi.
Le changement de la société et de son environnement ne peut pas se faire par une révolution, à mon avis, mais par un changement progressif de paradigme.