Pierre-Marie Baty 2 avril 2012 12:40

Au sujet de votre remarque :

« Mais il paraît évident qu’un homme est plus libre qu’un chien, qui est plus libre qu’un poisson, qui est lui-même plus libre qu’une plante et ainsi de suite jusqu’à la bactérie. »

J’entends que vous définissez ici la liberté comme potentialité de créer, comme puissance. La liberté ultime devient alors celle du démiurge, celui qui peut tout créer : la liberté, c’est la pure potentialité.

Voilà une théorie « potentialisante », n’est-ce pas ? smiley


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