Au sujet de votre remarque :
« Mais il paraît évident qu’un homme est plus libre qu’un chien, qui est plus libre qu’un poisson, qui est lui-même plus libre qu’une plante et ainsi de suite jusqu’à la bactérie. »
J’entends que vous définissez ici la liberté comme potentialité de créer, comme puissance. La liberté ultime devient alors celle du démiurge, celui qui peut tout créer : la liberté, c’est la pure potentialité.
Voilà une théorie « potentialisante », n’est-ce pas ?