Claude Courty Claudec 13 avril 2012 17:57

Les phénomènes négatifs se définissent par les positifs et inversement, selon une dialectique universelle dont j’avoue ne pas saisir le rapport avec le fait que la liberté se partage ou que celle de chacun a pour limites celle d’autrui.

Pour ce qui concerne les « phénomènes positifs s’auto-alimentant » : des mots, au conditionnel, auxquels s’oppose une réalité vieille comme l’homme et dont les plus démunis – toujours plus nombreux – font les frais.
Avec des « si » ou des « oui mais » tout est facilement imaginable. Je m’intéresse pour ma part davantage aux faits qu’à l’utopie. 

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