Je rejoins tout à fait Spip dans son analyse.
De surcroit la notion de miracle est introduite par ceux qui ne veulent entendre parler du baclofène pour des raisons évidentes de dénigrement.
L’alcoolisme n’est pas une maladie psychologique et la volonté n’a pas plus de prise sur elle que sur les métastases d’un malade atteint de cancer.
Le travail d’écoute peut être utile pour se reconstruire mais ne sert pas à se débarrasser de son addiction.
Quant au cout parlons en, l’alcoolisme coute 20 milliard d’euros par an à la collectivité, le baclofène 2€ par jour et par personne, faites le calcul.