La réaction alarmiste des associations, sensées défendre les
victimes, est des plus déconcertantes.
logique puisque tant qu’1 nouvelle loi ne sera pas votée, il y a vide juridique, hormis les dispositions contenues dans le code du travail.
et de plus, toutes les procédures en cours sont annulées, alors même qu’il s’agit toujours de procédures longues et éprouvantes.
Dans l’attente de la promulgation d’un nouveau texte, les
victimes ne seront pas démunies, et les agresseurs ne pourront
continuer leurs agissements en toute impunité, évidemment pas.Les plaintes seront fondées sur la base des délits de
violences et/ou de tentative de violence sexuelle dans les cas les plus
graves.
les requalifier n’est pas toujours possible. et si cela est possible, il faut recommencer à se battre.
pour de nombreuses victimes, elles préféreront ne rien faire.