eric 8 mai 2012 18:46

Ce que vous dites est une niaiserie faussement sentimentalisme pour éviter le vrai débat. La question n’est absolument pas d’aimer ou pas les fonctionnaires,les étrangers ou les riches, qu’il ne faudrait pas oublier puisqu’on parle des haines distillées, mais de mettre sur le tapis, qui paye quoi, qui reçoit quoi et pourquoi et avec quels résultats.

N’importe quel citoyen quel que soit son vote est aussi ravis d’avoir un flic pour le protéger,, une infirmière pour le soigner que d’avoir une baguette à acheter à porté de chez soi. La principale différence est qu’il sait combien cela lui coute, la baguette. Si cela ne lui plait pas, il change de crèmerie.

La dette contracté par les français pour la seule retraite des fonctionnaires est de 1200 milliards ( pas loin de notre dette d’état financière, 1700 milliards) d’euro pour lequels ces derniers cotisent à hauteur de 10 à 15 %. Ils travaillent moins pour des salaires plus élevés avec de meilleures retraites pour lesquelles ils cotisent peu et les autres payent la différence. On nous dit que c’et la faute des riches, qu’il ne faut pas niveller par le bas, et qu’avec les 300 millions d’euro de la tranche à 75% on va trouver une solution a ces situations.... Vous êtes libre d’y croire.
Quand l’état dépense 57% du PIb et en prélève 50%, l’argent est avant tout dans l’état, et la question est qu’est ce qu’on en fait et comment on arrive à avoir de plus en plus en plus de pauvre de moins en moins aidés, comme vous dites, avec de telles sommes perpétuellement croissantes. Nous consacrons 10 points de PIb au seul secteur associatif sanitaire et social ( plus de deux fois l’ensemble des dividendes des boites privées) Résultat, 1,8 millions de salariés du secteur associatif para public et combien de pauvre de moins ? Et si un gouvernement genre Sarko tente d’aller vois ce qui se passe, c’est tous dans la rue, manifs, hurlement au fascisme.

Alors, si, on vous aime tous, les fonctionnaires, les veuves cycliste, les réfugiées politique chilien fils père homophiles et les réfugiés du bouldikistant.

Ce que nous voulons savoir, c’est ou va l’argent et c’est foutrement sur qu’il n’est pas dans les dividendes des actionnaires. Et c’est dans les droits de l’homme


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