En tout cas, une chose est certaine : ce ne sont pas les banques qui sont allé mettre un pistolet sur la tempe de députés pour leur faire avaler de force des milliards de crédits. Un homme politique, dans une démocratie, ça dépense toujours plus que ça ne rentre d’argent, vu que l’argent dépensé lui rapporte de voix, et ne sort pas de sa poche.