Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 17 mai 2012 22:11

à l’auteur :


Je pense que c’est un point essentiel.

Pour ma part, je suis parti de l’analyse des modifications intervenues dans les années 80.

A l’époque de l’analyse de la plus-value, tout le travail était quantifiable par le « temps de travail » incorporé dans l’objet.

Quand je parle d’un logiciel, je parle de l’achat du logiciel, ou de son incorporation dans un onbjet.

Mais si on parle du logiciel lui-même, la plus-value ne provient pas d’un temps de travail, mais d’une qualité d’information, qui est certes issue d’un travail, mais n’est pas réductible à celui-ci-

Cela se retrouve sous sa forme pure dans :
-Les logiciels
-Les OGM et les semences type Monsanto
-Les ventes d’oeuvres intellectuelles téléchargés (films, musique, etc,)

Cela explique les lois liberticides liées à ces domaines.

J’avais écrit un article là-dessus.

Les conséquences en sont dramatiques et considérables, mais j’ai bien peur que peu aient pu correctement analyser ces éléments, pour toutes sortes de raisons. 

Et plus nous prendrons de retard, plus dure sera le chemin de retour à l’humain : nos successeurs nous regardent inquiets.




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