Elle a clairement perdu une occasion de se taire encore une fois. Après le fameux « la crise est derrière nous » juste avant septembre 2008, puis le « faites du vélo » si l’essence est trop chère, voilà maintenant qu’elle se met à désigner le peuple grec du doigt de façon plus que maladroite.
Certes, ce n’est pas totalement faux qu’il y a beaucoup de corruption.
Encore eut-il fallu plutôt désigner le mauvais exemple venu d’en haut et le rôle exécrable des banques américaines falsifiant les données pour faire rentrer ce pays dans la zone €.
Hors là, motus et bouche cousue..