On peut parler de choses sérieuses d’un ton léger
Je suis d’accord avec vous, sous réserve qu’il ne faut pas considérer tous les malades comme des handicapés, même si la maladie est un handicap (souvent passager)
Un réflexion est nécessaire sur la sexualité des malades chroniques, des handicapés physiques et des malades mentaux
Mais la sexualité n’est pas un obligation non plus