Robert GIL ROBERT GIL 4 février 2013 14:45

Contrairement aux idées reçues de l’économie-spectacle, certains faits vérifiables peuvent permettre de remettre en question tout le système. Les dépenses de l’État français ont baissé depuis vingt ans, cependant deux fois moins que la baisse des recettes. Les cadeaux fiscaux effectués par l’État depuis l’an 2000 représentent un manque à gagner de plus de 100 milliards d’euros par an. Plus de 600 milliards d’avoirs, bien planqués dans des paradis fiscaux, manquent à l’État français. Si la banque centrale européenne (BCE) avait accepté de prêter directement aux pays de la zone euro comme elle le fait pour les banques, c’est-à-dire au taux de 1 %, comme cela se passe aux États-Unis, il n’y aurait plus de dette de l’État français aujourd’hui. Et s’il n’y avait plus de cadeaux fiscaux, plus de paradis fiscaux, si l’on fonctionnait comme dans les années 60, l’État pourrait plus que doubler ses dépenses, sans aucune dette… Si l’on discerne comment on a pu en arriver là, on peut alors comprendre ce qui se passe aujour’hui.....

voir : L’ECONOMIE EST UNE ESCROQUERIE


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