Prendre la plume et la conserver aussi longtemps pour écrire aussi peu relève de la gageure.
Il faut de tout pour faire un monde, et traiter du drame libanais n’est pas inconciliable avec le suivi de la futilité de l’univers people : c’est autre chose, tout simplement. Si le nécéssaire n’est pas superflu, le superflu, lui, est bien nécéssaire. Cela combat la moue contestatrice, éfface les rides de perpléxité métaphysique, réjouit le bon peuple aussi bien que l’aspirant jetset. Plus simplement, c’est rigolo, ça détend !