« Dès lors, on comprend très bien que le système de production-consommation soit soumis à une ponction financière récurrente asséchant inéluctablement ses poches, et allant alimenter l’accumulation de capital à des fins spéculatives, essentiellement parce que les transactions financières ne sont pas taxées, contrairement aux processus de production. »
Qu’est-ce que vous appelez une « transaction financiére » ? Ce n’est ni un achat, ni une vente, déja taxé, ni une plus value, ni le versement de dividendes, déja taxés, donc qu’est-ce que vous appelez une transaction financiére ?
Par ailleur vous oubliez que le secteur financier finance l’économie. C’est lui qui concrétement finance les investissement des entreprises. Il n’y a donc aucun « asséchement » ou je ne sais quoi d’autre, comme l’a prouvé l’explosion d’internet qui a injecté des centaines de milliards dans l’économie « réel », chose que l’Etat aurait été bien incapable de financer (surtout en France, où il a fallut 100 ans pour avoir un téléphone à peu prés acceptable pour tous).
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