jean-pierre (---.---.24.122) 4 août 2006 14:28

@ Tzecoatl

« L’exemple du Crédit Lyonnais est lié à un »pétage de plomb de la direction« , à l’instar de la Barings. »

Votre théorie repose sur l’idée que les banques ne prennent pas de risque. Lorsqu’on démontre le contraire, vous dites qu’il s’agit de pétage de plomb. Et bien non, c’est vos postulats qui sont à remettre en cause.

« En quoi doit-elle »assumer l’inflation" ? Le capital détruit est égal au capital créé,..."

Une poussée de l’inflation suivie d’une baisse de la masse monétaire pour réduire l’inflation est une gain pour celui qui a emprunté avant (là le mécanisme est simple) et une perte pour la banque qui a prêté (probable baisse du « chiffre d’affaire » car il y a moins d’argent à prêté et que la banque à des engagements ...).

« Non, elle s’autorise à réclamer plus que le fruit du travail de toute entreprise française (croissance à 2%, »

Ce n’est pas comparable. Le capital rapporte plus de 2% C’est normal que l’argent qui est créée coûte plus.

« je dénonce un privilège »

Ce privilège, il doit bénéficier à quelqu’un, surement au propriétaire.

Or en France beaucoup de banques sont mutualistes. Elles appartiennent à leurs clients et sont dirigées par un repéresntant de leurs clients (Banques Populaires ...).

Désolé, mais votre construction intellectuelle ne tient pas la route.

Vous devez être de gauche, non ?


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