J’aime votre article qui donne la place de héros à un homme ’ordinaire’, un salarié des temps modernes au service de « la machine ».
Le gars sans sa cahute n’est pas au service des hommes il est au service de la machine commerciale, de la machine à vendre aux « cons hommes à toutes heures ».
Je serais lui, je vide un bidon d’essence dans cette cahute et j’y fous le feu à ce truc de fous. Et si ça suffit pas je me le vide sur la tête mon bidon d’essence pour enfin en finir avec ce monde qui se moque du monde.