Let’s Troll (---.---.169.142) 4 août 2006 17:02

Je n’ai pas d’avis sur la question pour améliorer la qualité de l’information ici ou là. Il faudra savoir comment trier les sujets à traiter, et savoir comment en discourir afin de ne pas noyer le poisson ? QUI déterminera les sujets et QUI décidera de supprimer les réactions (suivant la ligne éditoriale de la net-étiquette : pas de propos haineux, etc. ; ou alors car les réactions pertinentes se trouveront confrontées à l’ego du journaliste ou du comité rédactionnel)... QUI ? Le plus grand nombre des français et donc ceux qui ont félicité Zizou pour sa réaction fasciste à la finale 2006 ? [En 2007, Français et Françaises, ayez l’honnêteté de voter selon vos idées, voter Fasciste].

Cela ne mène nulle part... Déjà il y a eu quelques articles fascistes sur Agoravox (J’ai déjà fait part personnellement au comité, nous verrons par la suite ici ou ailleurs les résultats). Celui qui crie sur la place du peuple finit par crier dans le sens du vent pour ne pas se fatiguer et n’entend rien aux autres idées et discours. Nouveau dérapage, voie sans issue...

Et c’est quoi un journaliste ? C’est un commercial qui pêche et propose des informations sur le marché. Cela est sa logique. Sinon on doit vivre en électron libre, comme Pierre Carles (« PAS VU PAS PRIS », film de 1998 montrant déjà la vision cachée de Karl Zéro sur l’idée de journalisme.) Donc un commercial,... « Et leur article devrait normalement être présenté comme du publi-reportage. » http://www.nodula.com/17presseculturelle.html Pas un commercial ? Voyez comment un journaliste sait toujours retomber sur ses pieds. Dialogue (souvent entendu à la radio et au JT) : Journaliste : - Nous sommes là pour faire une analyse de l’information. Quidam : - Mais là vous grossissez le trait et vous négligez l’environnement dans lequel cette information se situe. Journaliste : - Nous ne sommes pas là pour méditer l’information. Nous ne sommes qu’une boîte de résonance.

Journaliste scrutateur OU journaliste au tambour ? La voie (voix ?) semble sans issue mais bardée d’affichages publicitaires ou mieux car plus tendance : bardée de messages de parrainage. Donc plus aucun esprit critique... Albert Londres est mort et est le nom d’un prix du meilleur reporter de la presse écrite. Mais était-il si apprécié que ça de son vivant ou si vertueux ? Non. Mais, il disait : « Notre métier n’est ni de faire plaisir, ni de faire du tort. Il est de porter la plume dans la plaie. » Un journaliste, doit-il toujours avoir cette ligne de conduite ? Moi, je dis : pas forcément. Autrement que des scandales, il y a aussi des idées et des points de vue à faire propager. Mais peut-être qu’il faut des scandales pour apporter la réflexion et ainsi faire changer les idées ?... Enfin, en attendant un monde meilleur, continuons à balbutier... Nous ne savons pas si nous sommes dans la bonne direction mais au moins nous connaissons notre cap.


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