Cassiopée R 8 août 2012 22:18

C’est une socialisation des dettes, au niveau national comme international, et une privatisation des profits pour les banques. Les mesures d’austérité sont tellement drastiques que les services publics comme le marché du travail sont cassés, avec des contrats de plus en plus précaires, qui ne sont plus des références économiques (comme un cdi), mais une précarisation de plus en plus importante.

 

Les salaires qui constituent la référence concernant la consommation intérieur, sont baissés puis gelés. Le secteur public qui fait fonctionner des services comme l’éducation, la santé, l’aide sociale ou les transports en communs sont dérégulés (comme la finance), privatiser, mise en concurrence par les services venant de l’étranger, et précariser par des contrats partiels ou à titre gratuit. Et les dettes qui sont dans un fonctionnement cavalier, des emprunts succèdent à d’autres emprunts, sont mutualisés au frais du contribuables, jusqu’aux produits de consommation commun comme la TVA.

 

Les multinationales qui ne paient pas d’impôts, et voient au contraire par une myriade d’avocats contribués à des reversements provenant des Etats, ont contribués (sans le moindre remboursement) à une destruction du tissu social (local), dont dépendait financièrement les citoyens. Ainsi les collectivités locales ont vus leurs capacités de revenus baissés, associés à une explosion des dettes, par aussi une décentralisation sans transferts de revenus.

 

Les dettes sont colossales en Chine, représentant près de 220% du PIB, et il en est de même en Inde, ou autres pays qui contribuent à ouvrir ses marchés, avec des emprunts (cavaliers) et des taux d’intérêts très élevés, qui sont mathématiquement non remboursable.

 

Les pays européens comme en Amérique du Nord sont spécialisés dans l’industrie de masse (hors Allemagne et Pays-Bas qui bénéficient du protectionnisme national), et qui voient les services qui étaient vanter comme l’industrie d’avenir, se délocaliser à leurs tours dans des pays à nearshoring (proche par la langue), qui pourraient être délocaliser en Inde ou en Chine, mais qui ne le sont pas à cause de la spécificité de la langue. De plus, la hausse des prix par la spéculation rends la vie de plus en plus chère, et les circuits économiques de circulation de la monnaie ne favorisent plus les classes moyennes et populaires.


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