Gabriel
En quatre lignes, vous
avez résumé les bonnes raisons de douter du récit que les comploteurs officiels
ont voulu nous faire prendre pour la vérité.
Même avant de se poser la
question « À qui profite le crime ? » , les évènements en série qui, pris un à un, sont déjà
invraisemblables, avaient une probabilité quasi-nulle de se produire
successivement le même jour.
Ou alors, il faut admettre qu’il existe des
« terroristes islamiques » extrêmement doués, sans compter leurs talents
en matière de pilotage d’avion de ligne, qui bénéficient d’une chance
prodigieuse d’origine probablement divine.