eau-du-robinet eau-du-robinet 19 septembre 2012 23:23

Bonjour André-Jacques Holbecq,

Sur ce ce graphique figurent les intérêts de la dette publique prélevé de nos impôts d’année en année ... Les barres (en rouge) présentent bien les montants qui ont été payée par les contribuables français (prélèvement de nos impôts « sur les revenues ») et cet argent est perdu à jamais.

Voici un tableau sur le quel figure dans la colonne 9 les montants des intérêts payée par les contribuables durant les années 1979 à l’année 2009. A ce jour nous avons payée plus de 1,4 billion ( 1,4 x 10 puissance 12) euros en intérêts ! C’est pas de l’argent virtuel mais bien de l’argent réel.

Vous avez raison on peut oublier la « piste 1 » mais j’ai l’évoque pour signaler qu’il s’agit de l’argent public qui est gaspillé à cause de la loi du 3 janvier 1973 puis plus tard cette loi on la retrouvé, inscrit dans le marbre, dans l’article 104 de Maastricht puis encore plus tard dans l’article 123 de Lisbonne. La « loi Pompidou, Giscard, Rothschild » votée en 1973 empêche l’État français de battre monnaie. Cette loi est une des causes de la dette publique, l’autre c’est le vote des budgets en déséquilibre de l’État français depuis plusieurs dizaines d’années. Les dépenses de l’État sont systématiquement plus élevée que les recettes. 

Quel solution au problème de la dette publique ?

Vous l’avez évoque : ... qu’il serait si simple de stabiliser en autorisant la Banque Centrale à monétiser les déficits

Mon point de vue la déçu est le suivant.
a) sortir de l’Europe
b) sortir de l’Euro
c) supprimer la loi de 1973 et rendre ses droits anciens à la Banque de France pour qu’elle puisse reprendre le contrôle de la monnaie,  ce que revient a enlever les privilèges accordé aux banques privées leur permettent de s’enrichir avec l’argent publique (via les intérêts elevées).
d) suivre l’exemple islandais ( Vous l’avait dit « Cette dette que de toute façon nous ne rembourseront jamais »

A la fin de cette année nous allons atteindre un taux d’endettement de 90% du PIB.
Haut delà les 90% c’est le niveau à partir du quel une dette devient incontrôlable selon l’économiste  Kenneth Rogoff .


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