arobase 18 septembre 2012 17:03

en effet j’avais une conviction qui s’est avérée insuffisamment fondé car basée sur tout ce qu’on entend.

il est important de se rendre compte de ses erreurs !
le simple fait d’entendre énumérer le nombre d’enfants vivant privés d’un des deux parents m’ont ouvert les yeux. 

moi aussi je n’ai pas eu de père, privé de tout mais pas d’affection. aussi je ne changerai pas mon enfance contre celle de mes enfants qui ont tout eu, mais il leur a manqué cette ambiance familiale ou les grand parents, les oncles et tantes , les cousins, les copains, les voisins même, sont là et forment une cercle des plus chaleureux. la vie d’un enfant au village, ça n’a pas de prix !
les miens ont été élevé dans la froideur de paris et marseille.

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