« Même si nous n’atteignons pas (encore ?) chez nous ce degré de médiocrité et de conformisme politiquement utile au pouvoir ». J’ai l’impression de lire une termite parlant des fourmis.
« Je me doute bien qu’un petit agriculteur de Burbure-les-betteraves n’est guère plus ouvert aux problèmes autres que locaux que le paysan du Nébraska..(Avez-vous déjà lu la »Voix du Nord« ? C’est affligeant...) » La différence entre le red neck du Nebraska, le petit agriculteur et le pédant français, c’est qu’il sont conscients de ne pas savoir.
Quand aux auteurs du livre, ils font tous parti de l’establishment et se protègent entre eux face aux critiques, non pas du gouvernement, mais des lecteurs. J’ai autre chose à faire que de lire un monument à la pensée unique journaliste engagé de gauche.