Mais ce qu j’apprécie dans agoravox, c’est l’absence à la fois d’obédience, de censure et de pressions. Un cercle qui n’est pas clos en somme.

Une sorte de réincarnation numérique de la Pnyx.

L’antihèse de ce qu’est devenu le journalisme pro.

J’ai constaté que des émissions de débat TV citent désormais des articles d’ Agoravox.

Sur Fukushima, le travail des site comme celui ci a longuement précédé les articles du Monde et du Nouvel Obs sur la fragilité des murs des batiments des réacteurs 3 et 4.

AV a aussi joué un rôle important dans le décortiquage de la shoanastasie (la censure par accusation de négationnisme) qui sert à discréditer tout et n’importe quoi (9/11, banksters, colonisation en Palestine, barbouseries al-Qadiennes...)

AV joue un rôle de poisson pilote, et c’est tres heureux.